La branche dissidente du Front populaire ivoirien (FPI) menée par Abou Drahamane Sangaré a dénoncé au cours d’un Comité central de son parti, « la violence et des armes comme moyens de revendications sociales et politiques ».
Dans le communiqué final de cette réunion transmis lundi à APA, cette tendance «réaffirme sa totale réprobation de la violence et des armes comme moyens revendications sociales et politiques».
Par ailleurs, cette dissidente dirigée par M. Sangaré «félicite les fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire pour leur détermination à défendre leurs acquis sociaux».
Le président de ce parti a informé « le Comité central des bonnes perspectives, à très court terme, dans la procédure juridique engagée pour le logo et les autres attributs du Parti », ajoute le texte.
Le Front populaire ivoirien (FPI), parti de l’ex- chef de l’Etat Laurent Gbagbo est miné par un bicéphalisme. Le président statutaire Pascal Affi Nguessan et Sangaré Abou Drahamane se disputent la tête de ce parti.
SY/ls/APA
Dans le communiqué final de cette réunion transmis lundi à APA, cette tendance «réaffirme sa totale réprobation de la violence et des armes comme moyens revendications sociales et politiques».
Par ailleurs, cette dissidente dirigée par M. Sangaré «félicite les fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire pour leur détermination à défendre leurs acquis sociaux».
Le président de ce parti a informé « le Comité central des bonnes perspectives, à très court terme, dans la procédure juridique engagée pour le logo et les autres attributs du Parti », ajoute le texte.
Le Front populaire ivoirien (FPI), parti de l’ex- chef de l’Etat Laurent Gbagbo est miné par un bicéphalisme. Le président statutaire Pascal Affi Nguessan et Sangaré Abou Drahamane se disputent la tête de ce parti.
SY/ls/APA