Le député fraichement réélu de la circonscription électorale d’Aboisso commune, Alfred Jérémie N’gouan, a échangé des vœux avec la presse locale, le samedi 21 janvier dernier, à sa résidence. Occasion pour le parlementaire de s’exprimer, pour la première fois, sur les évènements qui ont précédé les élections législatives dans la commune d’Aboisso. «Je regrette les évènements malheureux survenus avant les législatives à Aboisso. Ce qui s’est passé est vraiment dommage. Nous aurions pu en faire l’économie», a déclaré celui que son parti avait injustement écarté de la course au profit de l’actuel ministre des Affaires étrangères, Marcel Amon Tanoh.
Parlant des perspectives, le député Jérémie N’gouan a révélé qu’il initiera très bientôt un vaste programme d’alphabétisation, de sorte qu’il n’y ait plus d’analphabète dans sa circonscription, et donnera plus de chances aux déscolarisés à travers les cours du soir. Poursuivant, il a expliqué pourquoi il a toujours posé des actes sociaux. «La misère n’est pas une fatalité. Il faut pouvoir aider les autres. Ce qui est important, c’est de se mettre au service de l’humanité. Nous devons tous distribuer un peu de bonheur aux autres», a fait remarquer le directeur général des Cours Pigier.
Il a, enfin, présenté ses vœux aux populations et aux journalistes dont il a loué le dynamisme et l’impartialité dans le traitement des informations. «Nous souhaitons que la Couverture maladie universelle (CMU) soit une réalité et que la réconciliation soit une priorité pour les Ivoiriens», a-t-il formulé, avant de demander pardon à tous ceux qu’il aurait offensés. Auparavant, la presse locale lui a présenté ses vœux de bonne santé à travers le correspondant régional de Notre Voie, porte-parole du groupe.
Sam K.D.
Parlant des perspectives, le député Jérémie N’gouan a révélé qu’il initiera très bientôt un vaste programme d’alphabétisation, de sorte qu’il n’y ait plus d’analphabète dans sa circonscription, et donnera plus de chances aux déscolarisés à travers les cours du soir. Poursuivant, il a expliqué pourquoi il a toujours posé des actes sociaux. «La misère n’est pas une fatalité. Il faut pouvoir aider les autres. Ce qui est important, c’est de se mettre au service de l’humanité. Nous devons tous distribuer un peu de bonheur aux autres», a fait remarquer le directeur général des Cours Pigier.
Il a, enfin, présenté ses vœux aux populations et aux journalistes dont il a loué le dynamisme et l’impartialité dans le traitement des informations. «Nous souhaitons que la Couverture maladie universelle (CMU) soit une réalité et que la réconciliation soit une priorité pour les Ivoiriens», a-t-il formulé, avant de demander pardon à tous ceux qu’il aurait offensés. Auparavant, la presse locale lui a présenté ses vœux de bonne santé à travers le correspondant régional de Notre Voie, porte-parole du groupe.
Sam K.D.