Trois des seize entraîneurs présents à la 31ème phase finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), disputée du 14 janvier au 5 février 2017 au Gabon, ont perdu leur poste.
Il s’agit du sélectionneur de l’Algérie, le Belge Georges Leekens, celui de la Côte d’Ivoire, le Français Michel Dussuyer, et celui du Ghana, l’Israélien Avram Grant. Les deux premiers, dont les sélections figuraient parmi les grands favoris de la compétition, n’ont pas survécu à ce qui est assimilée à un échec cuisant : l’élimination prématurée au 1er tour.
Quant au troisième, il a rendu le tablier sur un constat d’échec avec une 2e place à la CAN 2015 et une 4e cette année tout en laissant les «Black Stars» en mauvaise posture dans les éliminatoires du Mondial 2018 avec un point après deux journées.
Le Français Alain Giresse, qui n’a pas réussi à qualifier le Mali au second tour, n’est pas à l’abri d’un départ prématuré de son poste. Tout comme son compatriote Hervé Renard, aux choix décriés, qui a échoué en quarts de finale avec le Maroc. Bien qu’il ait conduit l’Egypte en finale, l’Argentin Hector Cuper continue à traîner sa réputation d’entraîneur ultra défensif et abonné aux finales perdues dont deux en Ligue des champions d’Europe avec Valence (Espagne). Une réputation qui pourrait lui jouer un sale tour, surtout au pays des «Pharaons» peu habitué aux échecs.
Hormis ces techniciens en sursis, la majorité est assurée de garder son poste. Le maintien attendu de Jose Antonio Camacho est le plus inattendu, eu égard à l’élimination au 1ère tour des «Panthères» de leur CAN. Recruté à peine un mois avant le coup d’envoi du tournoi, le travail abattu par le technicien espagnol a sans doute convaincu ses employeurs.
Auréolés de bonnes prestations au Gabon, le Belge Hugo Broos (Cameroun), le Sénégalais Aliou Cissé (Sénégal), le Congolais Florent Ibenge (RD Congo), le Portugais Paulo Duarte (Burkina), le Franco-Polonais Henri Kasperczak (Tunisie) et le Français Claude Le Roy (Togo) sont sûrs d’être confirmés. Tout comme les coaches des petits poucets, le Bissau Guinéen Baciro Candé (Guinée Bissau), le Zimbabwéen Kallisto Pasuwa (Zimbabwe) et le Serbe Milutin Sredejovic (Ouganda).
Ce dernier pourrait même prendre du galon en prenant en main une sélection plus huppée.
BD/te/APA
Il s’agit du sélectionneur de l’Algérie, le Belge Georges Leekens, celui de la Côte d’Ivoire, le Français Michel Dussuyer, et celui du Ghana, l’Israélien Avram Grant. Les deux premiers, dont les sélections figuraient parmi les grands favoris de la compétition, n’ont pas survécu à ce qui est assimilée à un échec cuisant : l’élimination prématurée au 1er tour.
Quant au troisième, il a rendu le tablier sur un constat d’échec avec une 2e place à la CAN 2015 et une 4e cette année tout en laissant les «Black Stars» en mauvaise posture dans les éliminatoires du Mondial 2018 avec un point après deux journées.
Le Français Alain Giresse, qui n’a pas réussi à qualifier le Mali au second tour, n’est pas à l’abri d’un départ prématuré de son poste. Tout comme son compatriote Hervé Renard, aux choix décriés, qui a échoué en quarts de finale avec le Maroc. Bien qu’il ait conduit l’Egypte en finale, l’Argentin Hector Cuper continue à traîner sa réputation d’entraîneur ultra défensif et abonné aux finales perdues dont deux en Ligue des champions d’Europe avec Valence (Espagne). Une réputation qui pourrait lui jouer un sale tour, surtout au pays des «Pharaons» peu habitué aux échecs.
Hormis ces techniciens en sursis, la majorité est assurée de garder son poste. Le maintien attendu de Jose Antonio Camacho est le plus inattendu, eu égard à l’élimination au 1ère tour des «Panthères» de leur CAN. Recruté à peine un mois avant le coup d’envoi du tournoi, le travail abattu par le technicien espagnol a sans doute convaincu ses employeurs.
Auréolés de bonnes prestations au Gabon, le Belge Hugo Broos (Cameroun), le Sénégalais Aliou Cissé (Sénégal), le Congolais Florent Ibenge (RD Congo), le Portugais Paulo Duarte (Burkina), le Franco-Polonais Henri Kasperczak (Tunisie) et le Français Claude Le Roy (Togo) sont sûrs d’être confirmés. Tout comme les coaches des petits poucets, le Bissau Guinéen Baciro Candé (Guinée Bissau), le Zimbabwéen Kallisto Pasuwa (Zimbabwe) et le Serbe Milutin Sredejovic (Ouganda).
Ce dernier pourrait même prendre du galon en prenant en main une sélection plus huppée.
BD/te/APA