Abidjan - Le trésor public a apporté une précision aux allégations publiées par certains quotidiens affirmant « son laxisme dans la gestion du dossier d’agrobusiness », dans le cadre des travaux du Comité de veille, chargé notamment de procéder au remboursement des souscripteurs.
« Le trésor public a agi sur le dossier des sociétés d’agrobusiness en tant qu’un service technique du ministère de l’Économie et des Finances, chargé de la supervision du secteur financier, en relation avec les instances communautaires de l’UEMOA (BCEAO, CREPMF et CIMA) », rapporte une note d’information transmise jeudi au médias. A ce titre, toutes les questions d’ordre financier relèvent de sa compétence, bien entendu en relation avec les instances communautaires.
« Le trésor public a joué pleinement sa partition et à bonne date, dans la vigilance recommandée sur le fonctionnement du système financier national, aux côtés des autres acteurs et sa prise en main du dossier, à travers la présidence des instances mises en place sur les sociétés « d’agrobusiness » a accéléré ce dossier pour conduire aux résultats connus de tous aujourd’hui », explique la note.
La charge du trésor public est de coordonner l’étude sur le nouveau mode de financement proposé par les sociétés « d’agrobusiness » en mettant l’accent sur les risques encourus par les populations. Cette tâche s’inscrit dans le cadre de la mission du Conseil national de Crédit qui est d’étudier les conditions de financement de l’activité économique nationale, précise la note d’information, expliquant que la genèse du dossier des sociétés « d’agrobusiness » n’est pas du ressort du trésor public.
Pendant que la présidence des travaux du Comité de veille, chargée notamment de procéder au remboursement des souscripteurs sur la base du capital et des montants disponibles dans les comptes bancaires des sociétés concernées, est assurée par le trésor public, le secrétariat technique du Comité de veille, quant à lui est assuré par la direction du financement et du suivi des politiques sectorielles (DFSPS).
Le Comité de veille est chargé également de prémunir toutes formes de résurgence de ce phénomène et sa contagion aux autres secteurs de l’économie, a-t-on appris.
tg/kkf/fmo
« Le trésor public a agi sur le dossier des sociétés d’agrobusiness en tant qu’un service technique du ministère de l’Économie et des Finances, chargé de la supervision du secteur financier, en relation avec les instances communautaires de l’UEMOA (BCEAO, CREPMF et CIMA) », rapporte une note d’information transmise jeudi au médias. A ce titre, toutes les questions d’ordre financier relèvent de sa compétence, bien entendu en relation avec les instances communautaires.
« Le trésor public a joué pleinement sa partition et à bonne date, dans la vigilance recommandée sur le fonctionnement du système financier national, aux côtés des autres acteurs et sa prise en main du dossier, à travers la présidence des instances mises en place sur les sociétés « d’agrobusiness » a accéléré ce dossier pour conduire aux résultats connus de tous aujourd’hui », explique la note.
La charge du trésor public est de coordonner l’étude sur le nouveau mode de financement proposé par les sociétés « d’agrobusiness » en mettant l’accent sur les risques encourus par les populations. Cette tâche s’inscrit dans le cadre de la mission du Conseil national de Crédit qui est d’étudier les conditions de financement de l’activité économique nationale, précise la note d’information, expliquant que la genèse du dossier des sociétés « d’agrobusiness » n’est pas du ressort du trésor public.
Pendant que la présidence des travaux du Comité de veille, chargée notamment de procéder au remboursement des souscripteurs sur la base du capital et des montants disponibles dans les comptes bancaires des sociétés concernées, est assurée par le trésor public, le secrétariat technique du Comité de veille, quant à lui est assuré par la direction du financement et du suivi des politiques sectorielles (DFSPS).
Le Comité de veille est chargé également de prémunir toutes formes de résurgence de ce phénomène et sa contagion aux autres secteurs de l’économie, a-t-on appris.
tg/kkf/fmo