Abidjan - Le président américain Donald Trump a perdu jeudi soir le deuxième round de la bataille judiciaire engagée contre son décret limitant l'entrée aux États-Unis de certaines catégories d'étrangers.
Dans une déclaration unanime de 29 pages, assez sévère pour son administration, trois magistrats de la Cour d’appel de San Francisco (Eta de Californie) ont refusé d’annuler l’ordre de suspension qui avait été decrété pour l’ensemble du pays vendredi dernier par un juge de Seattle (Etat de Washington).
« Le gouvernement n’avait pas transmis la preuve qu’un étranger d’un des pays incriminés a perpétré un attentat aux Etats-Unis par le passé », a déclaré le juge William Canby, autorisant ainsi les refugiés dont le statut avait été approuvé par les autorités d'immigration et les titulaires de visas américains dans les sept pays visés peuvent donc continuer pour l'instant à se rendre aux Etats-Unis.
Le décret, qui suspend l’entrée aux Etats-Unis de ressortissants musulmans d’Iran, Irak, Yémen, Soudan, Somalie, Syrie et Libye, avait été signé le 27 janvier dernier par Donald Trump avant d’être bloqué vendredi dernier par un juge de Seattle.
sgb/cmas
Dans une déclaration unanime de 29 pages, assez sévère pour son administration, trois magistrats de la Cour d’appel de San Francisco (Eta de Californie) ont refusé d’annuler l’ordre de suspension qui avait été decrété pour l’ensemble du pays vendredi dernier par un juge de Seattle (Etat de Washington).
« Le gouvernement n’avait pas transmis la preuve qu’un étranger d’un des pays incriminés a perpétré un attentat aux Etats-Unis par le passé », a déclaré le juge William Canby, autorisant ainsi les refugiés dont le statut avait été approuvé par les autorités d'immigration et les titulaires de visas américains dans les sept pays visés peuvent donc continuer pour l'instant à se rendre aux Etats-Unis.
Le décret, qui suspend l’entrée aux Etats-Unis de ressortissants musulmans d’Iran, Irak, Yémen, Soudan, Somalie, Syrie et Libye, avait été signé le 27 janvier dernier par Donald Trump avant d’être bloqué vendredi dernier par un juge de Seattle.
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