Abidjan - Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Bahram Qasemi, a déclaré lundi à Téhéran que toutes les accusations contre l’Iran sur ses relations avec la crise au Yémen étaient « vide de sens », rapporte l'agence de presse iranienne (IRNA).
Selon lui, « l’iranophobie » n’est pas une nouvelle question et ce phénomène est l’approche de certains pays vis-à-vis de la République Islamique.
« Le résultat de cette guerre imposée par l’Arabie Saoudite n’était que la pauvreté et la souffrance des civiles yéménites. Les yéménites n’ont besoin ni de nous ni d’autres pays », a-t-il dit.
« Les relations culturelles et l’amitié entre l’Iran et certains pays, venues de la langue et de la religion commune est un prétexte utilisé par nos ennemis », a affirmé Bahram Qasemi, rejetant les accusations d’ingérence et les affabulations sur l’envoi d’armes au Yémen par l’Iran.
(AIP)
sdaf/cmas
Selon lui, « l’iranophobie » n’est pas une nouvelle question et ce phénomène est l’approche de certains pays vis-à-vis de la République Islamique.
« Le résultat de cette guerre imposée par l’Arabie Saoudite n’était que la pauvreté et la souffrance des civiles yéménites. Les yéménites n’ont besoin ni de nous ni d’autres pays », a-t-il dit.
« Les relations culturelles et l’amitié entre l’Iran et certains pays, venues de la langue et de la religion commune est un prétexte utilisé par nos ennemis », a affirmé Bahram Qasemi, rejetant les accusations d’ingérence et les affabulations sur l’envoi d’armes au Yémen par l’Iran.
(AIP)
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