En marge du séminaire d’orientation des députés ivoiriens qui se déroule à la Fondation Félix Houphouët Boigny, le député nouvellement élu de Divo-commune s’est confié à L’IA. Dr Famoussa Coulibaly explique les espoirs des populations de la région de Lôh-Djiboua, à quelques jours de l’arrivée du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, à Divo.
Le Premier ministre est attendu à Divo le 17 février prochain. Que représente cette venue du chef du gouvernement pour vous à Divo et aussi en tant qu’élu de cette commune ?
Je ne peux que m’en réjouir et me féliciter de ce que le Premier ministre, chef du gouvernement consacre sa première visite officielle au niveau de l’intérieur du pays, à Divo. Le Président de la République, lors de sa visite d’État à Divo, nous avait promis le bitumage de la route Divo-Guitry-Yocoboué lozoua. Aujourd’hui cela devient une réalité. Et je voudrais m’en féliciter. Le premier ministre va procéder au lancement des travaux de l’autoroute Tiassalé-Divo –Gagnoa. Je crois qu’en ce qui concerne les projets de routes pour cette année 2017, la région du Lôh-Djiboua fait partie des premières régions à bénéficier, d’un vaste programme gouvernemental. Et nous ne pouvons que remercier, le chef du gouvernement pour cette initiative. D’ailleurs, nous avons commencé un certain nombre de choses. Nous avons même une réunion des cadres, pour mieux préparer cette visite.
Quelles sont les attentes des populations de Lôh-Djiboua, par rapport à cette visite ?
Nous avons de nombreuses attentes. Mais déjà (comme on le dit , la route précède le développement ), en participant au lancement des travaux du bitumage, en nous octroyant quelques kilomètres de bitume dans la ville de Divo, nous ne pouvons que nous réjouir. Aujourd’hui, la population et l’ensemble des élus, pourront utiliser ces infrastructures à bon escient. Pour que nous puissions véritablement passer au développement. Vous savez, Divo et partant de là, toute la région de Lôh-Djiboua est une zone agricole. Et pour que nous puissions valablement faire sortir les productions agricoles, il faut de bonnes routes. Et le tronçon, dont le lancement des travaux est prévu le 17 février prochain, est une route très importante dans le trafic de la région. Et, je crois que le bitumage de cette route, va booster non seulement le commerce dans cette partie de notre région, mais également au niveau de nos produits agricoles. Et surtout la voie Divo-Tiassalé –Gagnoa, c’est une voie très pratiquée, je crois que tout cela va contribuer à faire sortir notre région un peu de son isolement.
Aujourd’hui, quel est l’état de la voirie dans la commune de Divo ?
Je crois que Divo qui est un chef-lieu de région, Divo qui fait partie des douze (12) grandes communes de la Côte d’Ivoire, n’est pas suffisamment servie en la matière. Et donc, aujourd’hui, nous avons bénéficié avec un premier programme, de six (6) Kilomètres de bitume dans la ville. C’était lors de la visite d’État du Président de la République, Son Excellence M. Alassane Ouattara. Maintenant qu’on vienne, et que les grandes artères de Divo seront bitumées, je crois que cela est de bons augures. Pour que, nos populations qui déjà adhèrent au programme du Chef de l’Etat, croient véritablement qu’elles ne sont pas oubliées dans le cadre de cette volonté d’aller à l’émergence. Parce que, qui dit émergence, dit développement. Qui dit émergence, dit développement des infrastructures de base. Mais au-delà des routes et autres, nous avons d’autres défis à relever, notamment sanitaires. Vous savez que notre Centre Hospitalier Régional(CHR) est l’un des plus importants de la région, mais qui manque beaucoup de choses. Nous avons également des défis, au niveau des infrastructures scolaires. Aujourd’hui, beaucoup de nos écoliers sont sous des paillotes. Et des salles de classes qui datent d’avant l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Donc, il y a beaucoup de choses à faire, notamment la jeunesse qui est en quête d’emploi. Donc, ce sont des problèmes auxquels, il faut faire face et trouver des solutions idoines. Parce que, quand la jeunesse est oisive et n’est pas occupée, elle peut s’en donner à certaines pratiques, qu’on voit malheureusement dans certaines de nos régions. Notamment, le vol, le banditisme, le broutage…etc. Et même, elle peut être à la solde des hommes politiques, pour des miettes. Pis, ces jeunes peuvent être tentés de poser des actions de déstabilisation. C’est pourquoi, il faut les occuper. Et notre challenge au niveau de l’Assemblée nationale sera justement d’œuvrer à ce que cette jeunesse puisse se prendre en charge. Outre cela, il y a le problème d’autonomisation de nos femmes qui sera un autre challenge pour nous. Tout ceci, pour permettre de booster l’économie dans notre région. Et ce sont des engagements que nous avons pris vis-à-vis de nos populations. Nous allons avec l’ensemble des cadres et des élus, œuvrer à ce que cela puisse se réaliser dans l’intérêt des populations.
Votre appel aux populations de Lôh- Djiboua
C’est de leur demander de se mobiliser. Parce que, c’est le premier ministre qui vient. Et c’est le chef du gouvernement ivoirien. C’est une importante institution du pays qui est représentée, c’est l’Etat de Côte d’Ivoire qui est représenté à un très haut niveau. Donc, je voudrais lancer un vibrant appel, d’abord à tous les cadres et élus de la région et toutes les populations. Quelles que soient nos obédiences politiques, religieuses et ethniques, nous devons réserver un accueil très chaleureux à l’hôte de marque qui est le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly et toute sa délégation. Et comme, je l’ai dit lors de ma campagne, et d’ailleurs de nombreux Divolais et Divolaises ont adhéré à cela, Divo d’abord. Divo avant toute chose. Et c’est l’intérêt de Divo que nous devrions mettre en avant. Ce pourquoi le Premier ministre vient, il ne vient pas dans un cadre politique, purement politique et politicienne. Il vient pour nous apporter le développement. Et nous devons lui souhaiter notre « Ayoka » traditionnel. Et nous devons lui démontrer que nous peuple de Lôh- Djiboua, nous sommes un peuple hospitalier, accueillant, qui s’est reconnaître les bonnes actions des bienfaiteurs. Et il sera la bienvenue à Divo. Nous allons l’accueillir des plus chaleureusement possible.
Par Harry Diallo à Yamoussoukro
Le Premier ministre est attendu à Divo le 17 février prochain. Que représente cette venue du chef du gouvernement pour vous à Divo et aussi en tant qu’élu de cette commune ?
Je ne peux que m’en réjouir et me féliciter de ce que le Premier ministre, chef du gouvernement consacre sa première visite officielle au niveau de l’intérieur du pays, à Divo. Le Président de la République, lors de sa visite d’État à Divo, nous avait promis le bitumage de la route Divo-Guitry-Yocoboué lozoua. Aujourd’hui cela devient une réalité. Et je voudrais m’en féliciter. Le premier ministre va procéder au lancement des travaux de l’autoroute Tiassalé-Divo –Gagnoa. Je crois qu’en ce qui concerne les projets de routes pour cette année 2017, la région du Lôh-Djiboua fait partie des premières régions à bénéficier, d’un vaste programme gouvernemental. Et nous ne pouvons que remercier, le chef du gouvernement pour cette initiative. D’ailleurs, nous avons commencé un certain nombre de choses. Nous avons même une réunion des cadres, pour mieux préparer cette visite.
Quelles sont les attentes des populations de Lôh-Djiboua, par rapport à cette visite ?
Nous avons de nombreuses attentes. Mais déjà (comme on le dit , la route précède le développement ), en participant au lancement des travaux du bitumage, en nous octroyant quelques kilomètres de bitume dans la ville de Divo, nous ne pouvons que nous réjouir. Aujourd’hui, la population et l’ensemble des élus, pourront utiliser ces infrastructures à bon escient. Pour que nous puissions véritablement passer au développement. Vous savez, Divo et partant de là, toute la région de Lôh-Djiboua est une zone agricole. Et pour que nous puissions valablement faire sortir les productions agricoles, il faut de bonnes routes. Et le tronçon, dont le lancement des travaux est prévu le 17 février prochain, est une route très importante dans le trafic de la région. Et, je crois que le bitumage de cette route, va booster non seulement le commerce dans cette partie de notre région, mais également au niveau de nos produits agricoles. Et surtout la voie Divo-Tiassalé –Gagnoa, c’est une voie très pratiquée, je crois que tout cela va contribuer à faire sortir notre région un peu de son isolement.
Aujourd’hui, quel est l’état de la voirie dans la commune de Divo ?
Je crois que Divo qui est un chef-lieu de région, Divo qui fait partie des douze (12) grandes communes de la Côte d’Ivoire, n’est pas suffisamment servie en la matière. Et donc, aujourd’hui, nous avons bénéficié avec un premier programme, de six (6) Kilomètres de bitume dans la ville. C’était lors de la visite d’État du Président de la République, Son Excellence M. Alassane Ouattara. Maintenant qu’on vienne, et que les grandes artères de Divo seront bitumées, je crois que cela est de bons augures. Pour que, nos populations qui déjà adhèrent au programme du Chef de l’Etat, croient véritablement qu’elles ne sont pas oubliées dans le cadre de cette volonté d’aller à l’émergence. Parce que, qui dit émergence, dit développement. Qui dit émergence, dit développement des infrastructures de base. Mais au-delà des routes et autres, nous avons d’autres défis à relever, notamment sanitaires. Vous savez que notre Centre Hospitalier Régional(CHR) est l’un des plus importants de la région, mais qui manque beaucoup de choses. Nous avons également des défis, au niveau des infrastructures scolaires. Aujourd’hui, beaucoup de nos écoliers sont sous des paillotes. Et des salles de classes qui datent d’avant l’indépendance de la Côte d’Ivoire. Donc, il y a beaucoup de choses à faire, notamment la jeunesse qui est en quête d’emploi. Donc, ce sont des problèmes auxquels, il faut faire face et trouver des solutions idoines. Parce que, quand la jeunesse est oisive et n’est pas occupée, elle peut s’en donner à certaines pratiques, qu’on voit malheureusement dans certaines de nos régions. Notamment, le vol, le banditisme, le broutage…etc. Et même, elle peut être à la solde des hommes politiques, pour des miettes. Pis, ces jeunes peuvent être tentés de poser des actions de déstabilisation. C’est pourquoi, il faut les occuper. Et notre challenge au niveau de l’Assemblée nationale sera justement d’œuvrer à ce que cette jeunesse puisse se prendre en charge. Outre cela, il y a le problème d’autonomisation de nos femmes qui sera un autre challenge pour nous. Tout ceci, pour permettre de booster l’économie dans notre région. Et ce sont des engagements que nous avons pris vis-à-vis de nos populations. Nous allons avec l’ensemble des cadres et des élus, œuvrer à ce que cela puisse se réaliser dans l’intérêt des populations.
Votre appel aux populations de Lôh- Djiboua
C’est de leur demander de se mobiliser. Parce que, c’est le premier ministre qui vient. Et c’est le chef du gouvernement ivoirien. C’est une importante institution du pays qui est représentée, c’est l’Etat de Côte d’Ivoire qui est représenté à un très haut niveau. Donc, je voudrais lancer un vibrant appel, d’abord à tous les cadres et élus de la région et toutes les populations. Quelles que soient nos obédiences politiques, religieuses et ethniques, nous devons réserver un accueil très chaleureux à l’hôte de marque qui est le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly et toute sa délégation. Et comme, je l’ai dit lors de ma campagne, et d’ailleurs de nombreux Divolais et Divolaises ont adhéré à cela, Divo d’abord. Divo avant toute chose. Et c’est l’intérêt de Divo que nous devrions mettre en avant. Ce pourquoi le Premier ministre vient, il ne vient pas dans un cadre politique, purement politique et politicienne. Il vient pour nous apporter le développement. Et nous devons lui souhaiter notre « Ayoka » traditionnel. Et nous devons lui démontrer que nous peuple de Lôh- Djiboua, nous sommes un peuple hospitalier, accueillant, qui s’est reconnaître les bonnes actions des bienfaiteurs. Et il sera la bienvenue à Divo. Nous allons l’accueillir des plus chaleureusement possible.
Par Harry Diallo à Yamoussoukro