Après la chute des prix du cacao en 2016, une partie de la production ivoirienne est en souffrance. Les exportateurs attendent des dédommagements et les producteurs entament une grève.
Dans le port d’Abidjan, les rues ont rétréci. Impossible de trouver un bout de trottoir vide. Partout sont garés des camions chargés de cacao. Des conducteurs somnolent, à l’ombre des essieux rouillés. Depuis novembre 2016, les ventes de fèves brunes sont quasiment bloquées.
« Mes quatre camions sont toujours immobilisés ! Et en brousse, nos magasins sont pleins à craquer. Avec la pluie, le cacao va pourrir », peste Raymond, un directeur de coopérative coincé depuis deux jours au port. La veille, les « rats du port » (surnom attribué aux voleurs) lui ont dérobé des sacs de... suite de l'article sur LeMonde.fr
Dans le port d’Abidjan, les rues ont rétréci. Impossible de trouver un bout de trottoir vide. Partout sont garés des camions chargés de cacao. Des conducteurs somnolent, à l’ombre des essieux rouillés. Depuis novembre 2016, les ventes de fèves brunes sont quasiment bloquées.
« Mes quatre camions sont toujours immobilisés ! Et en brousse, nos magasins sont pleins à craquer. Avec la pluie, le cacao va pourrir », peste Raymond, un directeur de coopérative coincé depuis deux jours au port. La veille, les « rats du port » (surnom attribué aux voleurs) lui ont dérobé des sacs de... suite de l'article sur LeMonde.fr