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Politique Publié le lundi 20 février 2017 | Jeune Afrique

Crise postélectorale en Côte d’Ivoire : la justice avance à tout petits pas

© Jeune Afrique Par Lassina SERME
Prise de fonction du Lieutenant-Colonel Chérif Ousmane
Vendredi 3 février 2017. Abidjan. Le Lieutenant-Colonel Chérif Ousmane a pris officiellement fonction à la tête du 1er bataillon de commandos et de parachutistes (BCP), en réaffirmant son ‘’entière loyauté’’ au Chef de l’Etat Alassane Ouattara, a constaté un journaliste de APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
En 2015, deux importants comzones, Chérif Ousmane, dit Papa Guépard, et Losseni Fofana, dit Loss, ont été inculpés par la justice ivoirienne pour des faits commis pendant la crise post-électorale (ce qui ne les a pas empêchés de rester en poste).

Côte d’Ivoire : quels montants pour l’indemnisation des victimes de la crise postélectorale ?
Les organisations de défense des droits de l’Homme se sont félicitées de ce début de rééquilibrage d’une justice qui, jusque-là, n’avait inquiété qu’une grande majorité de pro-Gbagbo. Wattao, lui, affirme qu’aucune mise en examen ne lui a été notifiée (une information que Jeune Afrique n’a pu vérifier).

Mais plusieurs rapports dénoncent son rôle, passé et présent, « dans des infractions économiques »... suite de l'article sur Jeune Afrique
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