Les récents mouvements d’humeur dans l’armée n’ont pas laissé indifférente la société civile. C’est pourquoi, Lucien Tapé Mambo, le président de la Plateforme de la société civile de Côte d’Ivoire (Pfsc-Ci), a échangé mercredi 22 février 2017 avec le général de brigade Nicolas Kouakou, commandant supérieur de la gendarmerie.
Dans les locaux du commandement supérieur de la gendarmerie au Plateau, il était question pour Tapé Mambo de formuler à son hôte des recommandations de la société civile en vue de mettre un terme aux mutineries dans l’armée. C’est pourquoi, au terme d’un peu plus d’une heure d’échanges avec le général Nicolas Kouakou, le président de la Pfsc-Ci a révélé être venu s’ « enquérir des derniers événements qui se sont passés en Côte d’Ivoire ».
« Le commandant nous a rassuré en disant que cela a été un épiphénomène et que la grande partie de l’armée n’y a pas été associée », a poursuivi Tapé Mambo.
Selon lui, le général Nicolas Kouakou a fait savoir que la cinquantaine de gendarmes concernés par ces mutineries ont été « mis au pas ».
Tapé Mambo a, ensuite, confié avoir fait des « propositions concrètes » au commandant supérieur de la gendarmerie, tout en soulignant que les échanges ont également porté « sur ce que l’armée faisait ».
Sur ce sujet, à en croire le président de la Pfsc-Ci, le général Nicolas Kouakou a déclaré que la gendarmerie est en sous-effectif, relativement à l’accomplissement de ses tâches sur l’ensemble du territoire.
Dans son mot de bienvenue à la délégation conduite par Tapé Mambo, le commandant supérieur de la gendarmerie a justifié l’opportunité de la rencontre.
« C’est normal que la grande muette parle parce qu’elle est l’émanation de la société. C’est fort de cela que vous avez souhaité que nous nous retrouvions pour nous entretenir », a expliqué le général Nicolas Kouakou.
Pour ce faire, d’ailleurs, il a indiqué avoir associé « ses plus proches collaborateurs » à la rencontre en vue de « trouver une direction commune pour la bonne marche » de la Côte d’Ivoire.
Alex A
Dans les locaux du commandement supérieur de la gendarmerie au Plateau, il était question pour Tapé Mambo de formuler à son hôte des recommandations de la société civile en vue de mettre un terme aux mutineries dans l’armée. C’est pourquoi, au terme d’un peu plus d’une heure d’échanges avec le général Nicolas Kouakou, le président de la Pfsc-Ci a révélé être venu s’ « enquérir des derniers événements qui se sont passés en Côte d’Ivoire ».
« Le commandant nous a rassuré en disant que cela a été un épiphénomène et que la grande partie de l’armée n’y a pas été associée », a poursuivi Tapé Mambo.
Selon lui, le général Nicolas Kouakou a fait savoir que la cinquantaine de gendarmes concernés par ces mutineries ont été « mis au pas ».
Tapé Mambo a, ensuite, confié avoir fait des « propositions concrètes » au commandant supérieur de la gendarmerie, tout en soulignant que les échanges ont également porté « sur ce que l’armée faisait ».
Sur ce sujet, à en croire le président de la Pfsc-Ci, le général Nicolas Kouakou a déclaré que la gendarmerie est en sous-effectif, relativement à l’accomplissement de ses tâches sur l’ensemble du territoire.
Dans son mot de bienvenue à la délégation conduite par Tapé Mambo, le commandant supérieur de la gendarmerie a justifié l’opportunité de la rencontre.
« C’est normal que la grande muette parle parce qu’elle est l’émanation de la société. C’est fort de cela que vous avez souhaité que nous nous retrouvions pour nous entretenir », a expliqué le général Nicolas Kouakou.
Pour ce faire, d’ailleurs, il a indiqué avoir associé « ses plus proches collaborateurs » à la rencontre en vue de « trouver une direction commune pour la bonne marche » de la Côte d’Ivoire.
Alex A