En prélude à la 2ème édition de la Conférence internationale sur l’Emergence de l’Afrique (CIEA) prévue du 28 au 30 mars 1017, La Ministre du Plan et du Développement Kaba Nialé a rencontré mercredi le secteur privé ivoirien.
La Ministre du Plan et du Développement a situé d’entrée les enjeux de la CIEA. Conçue comme une plate forme d’échanges pour stimuler le débat sur les conditions de l’émergence des pays africains à la lumière des dynamiques de transformation structurelle dans les pays émergents, l’organisation de la CIEA constitue une occasion pour les pays candidats à l’émergence de tirer les leçons des meilleures pratiques pour améliorer leurs politiques et stratégies opérationnelles, et pour accélérer la croissance et les transformations structurelles ainsi que le bien-être de leurs populations, a expliqué la Ministre Kaba Nialé.
Selon la Ministre du Plan et du Développement, le Rendez-vous d’Abidjan permettra d’apprécier si les politiques amorcées au lendemain de l’édition 2015 de la CIEA commencent à produire leurs effets. Aussi l’édition 2017 de la CIEA vise à approfondir le débat sur la problématique de la mise en œuvre des plans d’émergence des pays africains à la lumière des expériences menées en Afrique et ailleurs dans le monde, a-t-elle ajoutée. Kaba Nialé au vu de l’importance de la place qu’occupe le secteur privé dans l’émergence de la Côte d’Ivoire, avec notamment le financement des 2/3 du Plan National de Développement 2016-2020 estimé à 30.000 milliards de F CFA, a exhorté le secteur privé à prendre toute sa place dans l’organisation de la CIEA 2017.
En réponse à la démarche de la Ministre, le président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Marie Acka a réaffirmé l’engagement du secteur privé ivoirien aux côtés du Gouvernement dans l’organisation de la CIEA.
La CIEA est une initiative du Gouvernement ivoirien en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).
C’est 400 personnalités et Représentants de Gouvernements, d’Institutions Internationales de Développement, de Centres de Recherches, d’Universités, du Secteur privé qui sont attendus du 28 au 30 mars prochain dans la capitale économique ivoirienne.
Elisée B.
La Ministre du Plan et du Développement a situé d’entrée les enjeux de la CIEA. Conçue comme une plate forme d’échanges pour stimuler le débat sur les conditions de l’émergence des pays africains à la lumière des dynamiques de transformation structurelle dans les pays émergents, l’organisation de la CIEA constitue une occasion pour les pays candidats à l’émergence de tirer les leçons des meilleures pratiques pour améliorer leurs politiques et stratégies opérationnelles, et pour accélérer la croissance et les transformations structurelles ainsi que le bien-être de leurs populations, a expliqué la Ministre Kaba Nialé.
Selon la Ministre du Plan et du Développement, le Rendez-vous d’Abidjan permettra d’apprécier si les politiques amorcées au lendemain de l’édition 2015 de la CIEA commencent à produire leurs effets. Aussi l’édition 2017 de la CIEA vise à approfondir le débat sur la problématique de la mise en œuvre des plans d’émergence des pays africains à la lumière des expériences menées en Afrique et ailleurs dans le monde, a-t-elle ajoutée. Kaba Nialé au vu de l’importance de la place qu’occupe le secteur privé dans l’émergence de la Côte d’Ivoire, avec notamment le financement des 2/3 du Plan National de Développement 2016-2020 estimé à 30.000 milliards de F CFA, a exhorté le secteur privé à prendre toute sa place dans l’organisation de la CIEA 2017.
En réponse à la démarche de la Ministre, le président de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Marie Acka a réaffirmé l’engagement du secteur privé ivoirien aux côtés du Gouvernement dans l’organisation de la CIEA.
La CIEA est une initiative du Gouvernement ivoirien en partenariat avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), la Banque mondiale, la Banque Africaine de Développement (BAD) et l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA).
C’est 400 personnalités et Représentants de Gouvernements, d’Institutions Internationales de Développement, de Centres de Recherches, d’Universités, du Secteur privé qui sont attendus du 28 au 30 mars prochain dans la capitale économique ivoirienne.
Elisée B.
