Le marché international du cinéma et la télévision africaine (MICA) est un "salon B2B", a indiqué sa directrice, Suzanne Kourouma, lors de l’inauguration de la 18ème édition dimanche à Ouagadougou, en marche du 25 ème Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (FESPACO) ouvert samedi dans la capitale burkinabè en présence du ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman Kouakou.
Espaces multifonctionnels pour des séances de projection, des rencontres professionnelles et des conférences, le 18ème MICA est installé à Ouaga 2000, a précisé la directrice invitant les acteurs du cinéma à s’en approprier pour non seulement faire fructifier leurs affaires, mais aussi pour capitaliser et mutualiser leurs réflexions et expériences.
Pour le représentant du ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Christian Somda, le marché du film est une vitrine pour les œuvres cinématographiques africaines et de la diaspora, invitant les acteurs du 7ème art à saisir toutes les opportunités que le MICA offre pour réussir ce pari de faire de ce rendez-vous, un marché qui répond à leurs attentes.
Le salon du MICA va également accueillir des ateliers, des tables rondes et des masters classes. Le MICA est né, en 1983, de la volonté des professionnels du cinéma et de l'audiovisuel du continent d'avoir un marché autonome et propre au film africain, rappelle-t-on.
akn/kp
Espaces multifonctionnels pour des séances de projection, des rencontres professionnelles et des conférences, le 18ème MICA est installé à Ouaga 2000, a précisé la directrice invitant les acteurs du cinéma à s’en approprier pour non seulement faire fructifier leurs affaires, mais aussi pour capitaliser et mutualiser leurs réflexions et expériences.
Pour le représentant du ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Christian Somda, le marché du film est une vitrine pour les œuvres cinématographiques africaines et de la diaspora, invitant les acteurs du 7ème art à saisir toutes les opportunités que le MICA offre pour réussir ce pari de faire de ce rendez-vous, un marché qui répond à leurs attentes.
Le salon du MICA va également accueillir des ateliers, des tables rondes et des masters classes. Le MICA est né, en 1983, de la volonté des professionnels du cinéma et de l'audiovisuel du continent d'avoir un marché autonome et propre au film africain, rappelle-t-on.
akn/kp