Man – Le Secrétaire général 1 de la Préfecture de Man, Gouassiro Ernest Mathieu a déploré lors de la célébration locale de la 64ème Journée mondiale des malades atteints de la lèpre dimanche à Man, que le nombre des malades de la lèpre aillent croissant et que la maladie touche toutes les circonscriptions administratives du département.
«La situation de la lèpre dans le département demeure préoccupante malgré les progrès scientifiques. Les chiffres vont s’augmentant», a relevé l’administrateur civil, invitant les malades à suivre assidûment les soins.
Il a exhorté le personnel de la Santé publique et la population civile à intensifier la sensibilisation et à aider au dépistage précoce pour donner des chances de guérisons sans séquelles.
Corroborant son inquiétude, M. Gouassiro a indiqué qu’en 2016, la sous-préfecture de Man a notifié sept nouveaux cas, Logoualé 25 cas, Bogouiné 2 cas, Sangouiné 15 cas, Yapleu 19 cas et Podiagouiné 6 nouveaux cas.
Célébrée le dernier dimanche du mois de janvier, la Journée mondiale de la lèpre a été célébrée cette année en Côte d’Ivoire dimanche 26 février. Un décalage qui se justifie par les remous sociaux qu’a connus le pays le long du mois de janvier avec les mutineries d’éléments des forces de défense et de sécurité et les grèves des fonctionnaires.
gem/fmo
«La situation de la lèpre dans le département demeure préoccupante malgré les progrès scientifiques. Les chiffres vont s’augmentant», a relevé l’administrateur civil, invitant les malades à suivre assidûment les soins.
Il a exhorté le personnel de la Santé publique et la population civile à intensifier la sensibilisation et à aider au dépistage précoce pour donner des chances de guérisons sans séquelles.
Corroborant son inquiétude, M. Gouassiro a indiqué qu’en 2016, la sous-préfecture de Man a notifié sept nouveaux cas, Logoualé 25 cas, Bogouiné 2 cas, Sangouiné 15 cas, Yapleu 19 cas et Podiagouiné 6 nouveaux cas.
Célébrée le dernier dimanche du mois de janvier, la Journée mondiale de la lèpre a été célébrée cette année en Côte d’Ivoire dimanche 26 février. Un décalage qui se justifie par les remous sociaux qu’a connus le pays le long du mois de janvier avec les mutineries d’éléments des forces de défense et de sécurité et les grèves des fonctionnaires.
gem/fmo