Le siège de l’UNESCO à Paris a abrité le jeudi 2 mars 2017 le lancement de la 10ème édition du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA), en présence de plusieurs personnalités. Au nombre desquelles l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire en France, Charles Gomis, l’ambassadeur de la Côte d’Ivoire à l’UNESCO, Denise Houphouët Boigny, le Directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme, Jean-Marie Somet, Le Directeur général adjoint de la Compagnie ivoirienne d’Electricité (CIE), Eugène Zadi …
Le thème retenu Pour cette 10ème édition du FEMUA est « l’Afrique face au défi du réchauffement climatique ». A en croire le Commissaire général du FEMUA, Traoré Salif dit A’Salfo, le choix de ce thème vise à sensibiliser les populations sur la problématique du réchauffement climatique.
Plusieurs noms de la musique africaine sont annoncés du 25 au 30 avril à Anoumabo et à Adiaké. Il s’agit entre autres de Salif Kéita, Tiken jah, le groupe de zouglou Révolution, DJ Léo, Kiff No Beat, Singuila, Black M, Monique Seka, etc… C’est un peu plus de 10.000 personnes qui sont attendues au FEMUA 10, a annoncé A’Salfo. Intervenant au nom des artistes retenus pour le FEMUA 10, L’artiste Singuila a promis « un show » et a invité les populations d’Abidjan et d’Adiaké, ville retenue pour le concert apothéose, à se mobiliser afin de prendre part à la fête.
Il est prévu au cours de l’édition 2017 de rendre hommage à un « monument de la musique africaine », Papa Wemba, décédé sur scène lors de l’édition précédente. En levée de rideau le 24 Avril, l’orchestre de feu Papa Wemba, Viva la Musica donnera un concert à Anoumabo sur la place qui portera désormais le nom de l’illustre disparu. Aussi, les populations pourront-elles assister à une parade des sapeurs, idéologie dont Papa Wemba revendiquait la paternité.
Le Commissaire général du FEMUA a rappelé que le festival est organisé pour venir en aide aux populations défavorisées et aux personnes démunies. Tout en mettant l’accent sur la santé et l’Education. Le FEMUA a à son actif à ce jour quatre écoles dont deux à Anoumabo, une à Bangolo inaugurée à la rentrée scolaire 2016-2017, une à Séguéla en voie d’achèvement. Pour l’edition 2017, le FEMUA, avec l’appui de ses partenaires prévoit construire deux écoles, une dans le département de Gagnoa et l’autre à Odienné.
Le FEMUA sera un rendez-vous du panafricanisme, a conclu A’Salfo.
Atapointe, envoyé special à Paris
Le thème retenu Pour cette 10ème édition du FEMUA est « l’Afrique face au défi du réchauffement climatique ». A en croire le Commissaire général du FEMUA, Traoré Salif dit A’Salfo, le choix de ce thème vise à sensibiliser les populations sur la problématique du réchauffement climatique.
Plusieurs noms de la musique africaine sont annoncés du 25 au 30 avril à Anoumabo et à Adiaké. Il s’agit entre autres de Salif Kéita, Tiken jah, le groupe de zouglou Révolution, DJ Léo, Kiff No Beat, Singuila, Black M, Monique Seka, etc… C’est un peu plus de 10.000 personnes qui sont attendues au FEMUA 10, a annoncé A’Salfo. Intervenant au nom des artistes retenus pour le FEMUA 10, L’artiste Singuila a promis « un show » et a invité les populations d’Abidjan et d’Adiaké, ville retenue pour le concert apothéose, à se mobiliser afin de prendre part à la fête.
Il est prévu au cours de l’édition 2017 de rendre hommage à un « monument de la musique africaine », Papa Wemba, décédé sur scène lors de l’édition précédente. En levée de rideau le 24 Avril, l’orchestre de feu Papa Wemba, Viva la Musica donnera un concert à Anoumabo sur la place qui portera désormais le nom de l’illustre disparu. Aussi, les populations pourront-elles assister à une parade des sapeurs, idéologie dont Papa Wemba revendiquait la paternité.
Le Commissaire général du FEMUA a rappelé que le festival est organisé pour venir en aide aux populations défavorisées et aux personnes démunies. Tout en mettant l’accent sur la santé et l’Education. Le FEMUA a à son actif à ce jour quatre écoles dont deux à Anoumabo, une à Bangolo inaugurée à la rentrée scolaire 2016-2017, une à Séguéla en voie d’achèvement. Pour l’edition 2017, le FEMUA, avec l’appui de ses partenaires prévoit construire deux écoles, une dans le département de Gagnoa et l’autre à Odienné.
Le FEMUA sera un rendez-vous du panafricanisme, a conclu A’Salfo.
Atapointe, envoyé special à Paris