A l'endroit des donateurs des prix spéciaux, Remis Fulgance s'est réjoui de «l'effort remarquable fait par les donateurs pour donner plus de constance et de pertinence aux prix spéciaux.»
Le prix spécial Félix Houphouët-Boigny au Festival du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco 2017), décerné par le Conseil de l'Entente et qui renforce la paix et la sécurité, consacre la promotion de la démocratie et de l'État de droit ainsi que des valeurs culturelles africaines, a été attribué au long métrage « Frontières » réalisé par la Burkinabè, Apolline Traoré.
C'était ce vendredi 3 mars 2017, à la cérémonie de proclamation des prix spéciaux, à Ouagadougou. Ce prix d'un montant de 10 millions de Fcfa sera officiellement décerné, à la clôture du Fespaco, le samedi 4 mars, à Ouaga 2000.
Au total, ce sont 13 donateurs pour 15 prix spéciaux d'une valeur de 80 millions de Fcfa. C'est un véritable soutien au secteur de la culture et surtout du cinéma en Afrique, a reconnu le ministre de la Communication, chargé des relations avec le parlement et porte-parole du gouvernement burkinabè, Remis Fulgance, qui avait à ses côtés le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman.
Le prix spécial Félix Houphouët-Boigny au Festival du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco 2017), décerné par le Conseil de l'Entente et qui renforce la paix et la sécurité, consacre la promotion de la démocratie et de l'État de droit ainsi que des valeurs culturelles africaines, a été attribué au long métrage « Frontières » réalisé par la Burkinabè, Apolline Traoré.
C'était ce vendredi 3 mars 2017, à la cérémonie de proclamation des prix spéciaux, à Ouagadougou. Ce prix d'un montant de 10 millions de Fcfa sera officiellement décerné, à la clôture du Fespaco, le samedi 4 mars, à Ouaga 2000.
Au total, ce sont 13 donateurs pour 15 prix spéciaux d'une valeur de 80 millions de Fcfa. C'est un véritable soutien au secteur de la culture et surtout du cinéma en Afrique, a reconnu le ministre de la Communication, chargé des relations avec le parlement et porte-parole du gouvernement burkinabè, Remis Fulgance, qui avait à ses côtés le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman.