Abidjan - Ouverte le 25 février, la 25ème édition du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco) s’achève ce samedi en présence du président ivoirien, Alassane Ouattara, dont son pays a été choisi comme l’invité d’honneur de ladite édition.
En attendant, la cérémonie officielle de clôture qui sera marquée par l’attribution du prestigieux prix de l’Etalon du Yennenga qui met aux prises une vingtaine de films, quelques distinctions ont été décernées, notamment au film « A place of my self » (une place pour moi en français) de la rwandaise Marie Clémentine Dusabejambo, un film contre la stigmatisation et l’exclusion, qui a reçu le prix Thomas Sankara.
Selon une dépêche de l’Agence d’information du Burkina (AIB), ce film de 21 mn aborde la vie d’une fillette albinos de cinq ans dont les stéréotypes liés à la couleur de peau l’obligent, avec sa mère, à se battre pour se faire une place dans la société.
Pour la présidente du jury, Osange Silou-Kieffer, ce film est "d’une grande qualité technique avec un joli scénario et un message de non exclusion qui est le plus beau message qu’on puisse faire au monde entier".
Pour cette édition, 26 films courts métrages étaient en compétition pour ce prix doté d’un montant de 4500 euros (près de trois millions de francs CFA), signale-t-on.
kp
En attendant, la cérémonie officielle de clôture qui sera marquée par l’attribution du prestigieux prix de l’Etalon du Yennenga qui met aux prises une vingtaine de films, quelques distinctions ont été décernées, notamment au film « A place of my self » (une place pour moi en français) de la rwandaise Marie Clémentine Dusabejambo, un film contre la stigmatisation et l’exclusion, qui a reçu le prix Thomas Sankara.
Selon une dépêche de l’Agence d’information du Burkina (AIB), ce film de 21 mn aborde la vie d’une fillette albinos de cinq ans dont les stéréotypes liés à la couleur de peau l’obligent, avec sa mère, à se battre pour se faire une place dans la société.
Pour la présidente du jury, Osange Silou-Kieffer, ce film est "d’une grande qualité technique avec un joli scénario et un message de non exclusion qui est le plus beau message qu’on puisse faire au monde entier".
Pour cette édition, 26 films courts métrages étaient en compétition pour ce prix doté d’un montant de 4500 euros (près de trois millions de francs CFA), signale-t-on.
kp
