Le premier centre de formation en médecine d’urgence de Côte d’Ivoire a été livré, mercredi, par le Roi Mohammed VI du Maroc, en visite d’amitié et de travail depuis le 24 février.
D’un coût de 210 millions de FCFA, entièrement financé par la Fondation Mohammed VI pour le développement durable , l’édifice de deux niveaux bâti sur une superficie de 450m2 dans l’enceinte du Centre hospitalier universitaire (CHU de Yopougon, à l’ouest d’Abidjan) a une capacité annuelle de formation de ’’75 urgentistes et 120 secouristes et auxiliaires’’, indique la fiche technique du centre.
C’est ce centre baptisé ’’Centre Mohammed VI de formation en médecine d’ urgence’’ que le Roi Mohammed VI et le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly ont visité en compagnie de plusieurs membres du gouvernement dont le Ministre d’Etat Hamed Bakayoko, les ministres Raymonde Goudou Coffi (Santé), Sidy Touré (Promotion des jeunes) et du Secrétaire d’Etat, Mamadou Touré.
Il est destiné à la formation d’urgentistes et de secouristes à la satisfaction de la ministre de la santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou Coffi.’’ C’est le fruit de la coopération entre nos deux pays qui permettra d’améliorer le plateau technique sanitaire’’ a-t-elle apprécié.
En marge de cette inauguration, Mohammed VI s’est fait expliqué les travaux d’avancement du complexe de formation professionnelle en construction à Yopougon gare. D’un coût de réalisation de 4 milliards FCFA, ce centre couvrira, à terme, " 21 filières de formation dont 12 dans le secteur du Bâtiment et travaux publics (BTP) et 9 dans le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et la restauration’’.
Il aura une capacité annuelle d’accueil de 1000 stagiaires dont ’’600 en BTP et 400 en tourisme, hôtellerie et restauration’’.
Le complexe financé, également, par la Fondation Mohammed VI, vise entre autres objectifs à ’’doter le secteur du bâtiment et travaux publics ainsi que celui du tourisme de ressources humaines qualifiées, renforcer l’employabilité des jeunes et promouvoir leur insertion socio-professionnelle et accompagner les grands chantiers de développement’’ initiés par la Côte d’Ivoire.
HS/ls/APA
D’un coût de 210 millions de FCFA, entièrement financé par la Fondation Mohammed VI pour le développement durable , l’édifice de deux niveaux bâti sur une superficie de 450m2 dans l’enceinte du Centre hospitalier universitaire (CHU de Yopougon, à l’ouest d’Abidjan) a une capacité annuelle de formation de ’’75 urgentistes et 120 secouristes et auxiliaires’’, indique la fiche technique du centre.
C’est ce centre baptisé ’’Centre Mohammed VI de formation en médecine d’ urgence’’ que le Roi Mohammed VI et le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly ont visité en compagnie de plusieurs membres du gouvernement dont le Ministre d’Etat Hamed Bakayoko, les ministres Raymonde Goudou Coffi (Santé), Sidy Touré (Promotion des jeunes) et du Secrétaire d’Etat, Mamadou Touré.
Il est destiné à la formation d’urgentistes et de secouristes à la satisfaction de la ministre de la santé et de l’Hygiène publique, Dr Raymonde Goudou Coffi.’’ C’est le fruit de la coopération entre nos deux pays qui permettra d’améliorer le plateau technique sanitaire’’ a-t-elle apprécié.
En marge de cette inauguration, Mohammed VI s’est fait expliqué les travaux d’avancement du complexe de formation professionnelle en construction à Yopougon gare. D’un coût de réalisation de 4 milliards FCFA, ce centre couvrira, à terme, " 21 filières de formation dont 12 dans le secteur du Bâtiment et travaux publics (BTP) et 9 dans le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et la restauration’’.
Il aura une capacité annuelle d’accueil de 1000 stagiaires dont ’’600 en BTP et 400 en tourisme, hôtellerie et restauration’’.
Le complexe financé, également, par la Fondation Mohammed VI, vise entre autres objectifs à ’’doter le secteur du bâtiment et travaux publics ainsi que celui du tourisme de ressources humaines qualifiées, renforcer l’employabilité des jeunes et promouvoir leur insertion socio-professionnelle et accompagner les grands chantiers de développement’’ initiés par la Côte d’Ivoire.
HS/ls/APA