Un "Gala de la vie" en hommage aux victimes avait lieu samedi soir à Grand Bassam, à l'avant-veille d'une grande cérémonie du souvenir, un an après l'attaque du 13 mars 2016 qui avait fait 19 morts.
« Nous sommes là pour se souvenir. Il fallait faire (le concert) aussi pour chasser ça. Pour montrer à ces ‘connards’ que ce n’est pas parce qu’ils ont fait ça qu’on ne va pas vivre. Il faut casser ça. La musique est plus forte », a affirmé à l’AFP Paco Sery, le célèbre batteur de jazz ivoirien, à quelques mètres de l’épicentre de l’attaque sur la plage de Grand Bassam. Tous les artistes ont joué sans toucher de cachet, selon les organisateurs.
« Tous en blanc pour nos martyrs »
La station balnéaire était sous haute protection ce week-end avec de... suite de l'article sur Jeune Afrique
« Nous sommes là pour se souvenir. Il fallait faire (le concert) aussi pour chasser ça. Pour montrer à ces ‘connards’ que ce n’est pas parce qu’ils ont fait ça qu’on ne va pas vivre. Il faut casser ça. La musique est plus forte », a affirmé à l’AFP Paco Sery, le célèbre batteur de jazz ivoirien, à quelques mètres de l’épicentre de l’attaque sur la plage de Grand Bassam. Tous les artistes ont joué sans toucher de cachet, selon les organisateurs.
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