Grand-Bassam - Le gouvernement ivoirien a organisé un atelier à Grand-Bassam, en vue du démarrage effectif des activités du projet d’appui à la cohésion sociale et à la réintégration des personnes déplacées et retournées.
Cet atelier qui s’est tenu le 9 mars, a bénéficié de l’appui financier de la République Fédérale d’Allemagne et du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Spécifiquement, il s’est agi pour les organisateurs d’informer et de sensibiliser davantage les parties prenantes sur les enjeux du projet, de passer en revue les outils de planification des activités du projet pour les deux ans à venir ainsi que le cadre de gouvernance y compris le suivi de la mise en œuvre, d’adapter de manière participative et inclusive, les critères pour le ciblage géographique et le choix des bénéficiaires.
Selon le représentant du PNUD, Joseph Ezoua, spécialiste du programme, le démarrage effectif de ce projet est important car « Les personnes déplacées se heurtent à plusieurs obstacles dans la quête de solutions durables » notamment les difficultés d’accès aux documents personnels, aux moyens de subsistance, à la terre et à des mécanismes de restitution des biens, gage d’une cohésion sociale et de paix durable en Côte d’Ivoire.
Au nom du ministre du Plan et du Développement, le directeur général de l’office national de la population, Dr Hinin Moustapha a indiqué avoir identifié conjointement avec le PNUD, 700 000 personnes déplacées dont 1000 seront concernées pour la première phase de ce projet.
ko/sgb/fmo
Cet atelier qui s’est tenu le 9 mars, a bénéficié de l’appui financier de la République Fédérale d’Allemagne et du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Spécifiquement, il s’est agi pour les organisateurs d’informer et de sensibiliser davantage les parties prenantes sur les enjeux du projet, de passer en revue les outils de planification des activités du projet pour les deux ans à venir ainsi que le cadre de gouvernance y compris le suivi de la mise en œuvre, d’adapter de manière participative et inclusive, les critères pour le ciblage géographique et le choix des bénéficiaires.
Selon le représentant du PNUD, Joseph Ezoua, spécialiste du programme, le démarrage effectif de ce projet est important car « Les personnes déplacées se heurtent à plusieurs obstacles dans la quête de solutions durables » notamment les difficultés d’accès aux documents personnels, aux moyens de subsistance, à la terre et à des mécanismes de restitution des biens, gage d’une cohésion sociale et de paix durable en Côte d’Ivoire.
Au nom du ministre du Plan et du Développement, le directeur général de l’office national de la population, Dr Hinin Moustapha a indiqué avoir identifié conjointement avec le PNUD, 700 000 personnes déplacées dont 1000 seront concernées pour la première phase de ce projet.
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