Abidjan - Le Groupe de la Banque mondiale va intensifier son appui aux pays d’Afrique subsaharienne afin de les aider à réformer et diversifier leur économie pour renouer avec la croissance, a annoncé son président Jim Yong Kim.
« En ces temps incertains, le Groupe de la Banque mondiale va intensifier son appui aux pays d’Afrique subsaharienne afin de les aider à réformer et diversifier leur économie pour renouer avec la croissance », a déclaré le président du groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, lors de la tribune de son organisation sur la transformation de l’Afrique, organisée en Allemagne, selon une note d’information transmise mercredi à l’AIP.
Il appelle la communauté internationale à contribuer à créer les conditions propices à une croissance plus soutenue et un développement plus durable parce que « l’Afrique affiche une résilience économique remarquable : 41 % de sa population vit dans des pays qui enregistrent des taux de croissance supérieurs à 5,5 % ».
Selon lui, l’une des priorités du groupe de la Banque mondiale consiste, en effet, à aider les pays africains à investir, en partenariat avec le secteur privé, dans des infrastructures qui font aujourd’hui cruellement défaut. « Les besoins du continent en la matière sont estimés à 93 milliards de dollars par an, soit environ 15 % de son PIB. L’Afrique investit à l’heure actuelle 45 milliards de dollars dans les infrastructures, dont plus de la moitié est financée par le secteur public », a indiqué M. Jim Yong Kim, soulignant que les investissements dans l’infrastructure ont un impact considérable sur la croissance à long terme.
Au mois de décembre 2016, une soixantaine de pays développés et en développement se sont engagés à verser un montant record de 75 milliards de dollars à l’Association internationale de développement (IDA), un fonds pour les pays les plus pauvres. Près de 60 % de ces ressources seront consacrées à l’Afrique subsaharienne au cours des trois prochaines années, ce qui permettra de doubler le soutien apporté par l’IDA à cette région, a-t-on appris.
tg/kkf/fmo
« En ces temps incertains, le Groupe de la Banque mondiale va intensifier son appui aux pays d’Afrique subsaharienne afin de les aider à réformer et diversifier leur économie pour renouer avec la croissance », a déclaré le président du groupe de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, lors de la tribune de son organisation sur la transformation de l’Afrique, organisée en Allemagne, selon une note d’information transmise mercredi à l’AIP.
Il appelle la communauté internationale à contribuer à créer les conditions propices à une croissance plus soutenue et un développement plus durable parce que « l’Afrique affiche une résilience économique remarquable : 41 % de sa population vit dans des pays qui enregistrent des taux de croissance supérieurs à 5,5 % ».
Selon lui, l’une des priorités du groupe de la Banque mondiale consiste, en effet, à aider les pays africains à investir, en partenariat avec le secteur privé, dans des infrastructures qui font aujourd’hui cruellement défaut. « Les besoins du continent en la matière sont estimés à 93 milliards de dollars par an, soit environ 15 % de son PIB. L’Afrique investit à l’heure actuelle 45 milliards de dollars dans les infrastructures, dont plus de la moitié est financée par le secteur public », a indiqué M. Jim Yong Kim, soulignant que les investissements dans l’infrastructure ont un impact considérable sur la croissance à long terme.
Au mois de décembre 2016, une soixantaine de pays développés et en développement se sont engagés à verser un montant record de 75 milliards de dollars à l’Association internationale de développement (IDA), un fonds pour les pays les plus pauvres. Près de 60 % de ces ressources seront consacrées à l’Afrique subsaharienne au cours des trois prochaines années, ce qui permettra de doubler le soutien apporté par l’IDA à cette région, a-t-on appris.
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