L'artiste Arsène Djéka a évoqué ''Gnamien Kpli'' (Dieu) au cours du vernissage de son exposition intitulée «Un recours aux sources pour une introspection vraie» sous le rythme du tam-tam parleur. "A tous mes ancêtres, faites que cette fête de la conscience africaine soit une réussite", a-t-il lâché, le jeudi 23 mars dernier, à l'agence Houkami Guyzagn sis à Cocody-Riviera-Bonoumin.
A travers l'éloge tambouriné, l'artiste a rendu hommage à l'Afrique glorieuse et invité le public à percevoir cette exposition d'une trentaine de toiles comme la célébration de cette Afrique qui a beaucoup donné à l'humanité.
A en croire Djéka, les Africains doivent s'approprier leur histoire. Ancré dans la tradition ''Waoulé'' (baoulé), l'exposant affirme qu'on a arraché aux Africains leur imaginaire. Toute chose qui a contribué à codifier, par d'autres, en l’occurrence les Occidentaux, leur manière de pensée.
Cette exposition, qui court du 23 mars au 9 avril, est marquée par deux œuvres majeures : "La bataille de Kirina" et "Les larmes d'Abla Pokou".
M.B.
A travers l'éloge tambouriné, l'artiste a rendu hommage à l'Afrique glorieuse et invité le public à percevoir cette exposition d'une trentaine de toiles comme la célébration de cette Afrique qui a beaucoup donné à l'humanité.
A en croire Djéka, les Africains doivent s'approprier leur histoire. Ancré dans la tradition ''Waoulé'' (baoulé), l'exposant affirme qu'on a arraché aux Africains leur imaginaire. Toute chose qui a contribué à codifier, par d'autres, en l’occurrence les Occidentaux, leur manière de pensée.
Cette exposition, qui court du 23 mars au 9 avril, est marquée par deux œuvres majeures : "La bataille de Kirina" et "Les larmes d'Abla Pokou".
M.B.