La maire de Paris Anne Hidalgo a salué, samedi 25 mars, lors de la cérémonie d’ouverture de la 85e session du bureau de l’Association internationale des maires francophones (AIMF), au Radisson Blu M’Bamou Palace Hôtel de Brazzaville, les actions initiées par Beugré Mambé en faveur de l’autonomisation des femmes et la lutte contre la pauvreté, singulièrement son projet d’installation des usines d’attiéké.
Elle a parlé précisément des femmes de Brofodoumé, localité où elle s’est rendue récemment en compagnie du gouverneur du District d’Abidjan dont l’appui a permis aux dites femmes de se réunir en coopérative pour travailler le manioc, aider leur famille à bien vivre, réduisant ainsi les effets néfastes de la pauvreté.
Pour Mme Hidalgo, la lutte contre la pauvreté aujourd’hui a deux piliers sur lesquels il faut s’appuyer, il s’agit de la décentralisation et de la question des femmes. La décentralisation, qui est un gouvernement à l’échelle réduite, permet d’apporter, selon la présidente de l’AIMF, des solutions aux questions cruciales relatives à l’eau, au transport, à l’éducation, à la santé. Sans décentralisation, a-t-elle dit, il sera difficile de faire espérer les populations dans les villes. C’est l’un des deux éléments structurants et fondateurs de l’AIMF.
L’autre élément, le deuxième, c’est la question des femmes, leur capacité à prendre des responsabilités. Car les femmes, a dit Anne Hidalgo, sont l’avenir de l’humanité, de l’Afrique. Aussi, faut-il faire en sorte qu’elles aient la place qui leur revient, notamment dans les responsabilités publiques et dans les collectivités. Ce serait, au dire de Mme Hidalgo, rendre un bien grand service non seulement aux collectivités, mais à l’ensemble de l’humanité.
Quant au président de la commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), M. Pierre Moussa, il a axé son intervention sur la problématique de l’intégration au sein des 6 Etats de cette communauté. Puis il a prôné le renforcement des liens entre les Etats de cette zone. Il a plaidé enfin pour une politique commune d’aménagement du territoire en zone Cemac, un espace qui regroupe 220 villes de plus de dix mille habitants.
Pour sa part, dans son discours d’ouverture, le Premier ministre congolais Clément Mouamba a exprimé sa gratitude au président de la Cemac et à la maire de Paris pour l’initiative heureuse qu’ils ont prise d’organiser la 85e session du bureau de l’AIMF à Brazzaville. Cette initiative s’inscrit, au dire de M. Mouamba, dans le cadre de l’intégration des Etats de l’Afrique centrale, une politique qui, selon lui, occupe une place centrale dans l’action du président Sassou Nguesso.
Pour le chef du gouvernement congolais, la centralisation ne peut résoudre les questions de lutte contre la pauvreté et de développement. Même si les réalités des Etats de la Cemac sont différentes, il existe toutefois entre eux, a indiqué Clément Mouamba, de nombreux points de convergence, d’où la nécessité pour eux d’aller à l’intégration.
Avant l’intervention de toutes ces personnalités, le député-maire de Brazzaville et vice-président de l’AIMF, Hugues Ngouenlendele, a salué le président Sassou Nguesso pour son inclination vers la décentralisation. Il a dit que c’est un honneur et un réel privilège pour la ville qu’il dirige d’accueillir la 85e réunion du bureau de l’AIMF. Il a exprimé ses chaleureuses salutations et formulé des vœux de cordiale bienvenue à tous les élus locaux qui ont fait le déplacement de Brazzaville.
Elle a parlé précisément des femmes de Brofodoumé, localité où elle s’est rendue récemment en compagnie du gouverneur du District d’Abidjan dont l’appui a permis aux dites femmes de se réunir en coopérative pour travailler le manioc, aider leur famille à bien vivre, réduisant ainsi les effets néfastes de la pauvreté.
Pour Mme Hidalgo, la lutte contre la pauvreté aujourd’hui a deux piliers sur lesquels il faut s’appuyer, il s’agit de la décentralisation et de la question des femmes. La décentralisation, qui est un gouvernement à l’échelle réduite, permet d’apporter, selon la présidente de l’AIMF, des solutions aux questions cruciales relatives à l’eau, au transport, à l’éducation, à la santé. Sans décentralisation, a-t-elle dit, il sera difficile de faire espérer les populations dans les villes. C’est l’un des deux éléments structurants et fondateurs de l’AIMF.
L’autre élément, le deuxième, c’est la question des femmes, leur capacité à prendre des responsabilités. Car les femmes, a dit Anne Hidalgo, sont l’avenir de l’humanité, de l’Afrique. Aussi, faut-il faire en sorte qu’elles aient la place qui leur revient, notamment dans les responsabilités publiques et dans les collectivités. Ce serait, au dire de Mme Hidalgo, rendre un bien grand service non seulement aux collectivités, mais à l’ensemble de l’humanité.
Quant au président de la commission de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), M. Pierre Moussa, il a axé son intervention sur la problématique de l’intégration au sein des 6 Etats de cette communauté. Puis il a prôné le renforcement des liens entre les Etats de cette zone. Il a plaidé enfin pour une politique commune d’aménagement du territoire en zone Cemac, un espace qui regroupe 220 villes de plus de dix mille habitants.
Pour sa part, dans son discours d’ouverture, le Premier ministre congolais Clément Mouamba a exprimé sa gratitude au président de la Cemac et à la maire de Paris pour l’initiative heureuse qu’ils ont prise d’organiser la 85e session du bureau de l’AIMF à Brazzaville. Cette initiative s’inscrit, au dire de M. Mouamba, dans le cadre de l’intégration des Etats de l’Afrique centrale, une politique qui, selon lui, occupe une place centrale dans l’action du président Sassou Nguesso.
Pour le chef du gouvernement congolais, la centralisation ne peut résoudre les questions de lutte contre la pauvreté et de développement. Même si les réalités des Etats de la Cemac sont différentes, il existe toutefois entre eux, a indiqué Clément Mouamba, de nombreux points de convergence, d’où la nécessité pour eux d’aller à l’intégration.
Avant l’intervention de toutes ces personnalités, le député-maire de Brazzaville et vice-président de l’AIMF, Hugues Ngouenlendele, a salué le président Sassou Nguesso pour son inclination vers la décentralisation. Il a dit que c’est un honneur et un réel privilège pour la ville qu’il dirige d’accueillir la 85e réunion du bureau de l’AIMF. Il a exprimé ses chaleureuses salutations et formulé des vœux de cordiale bienvenue à tous les élus locaux qui ont fait le déplacement de Brazzaville.