Les sociétés Monhévéa.com et Agromix de Christophe Yapi ont porté plainte contre l’Etat de Côte d’Ivoire dans le cadre du contentieux sur l’agrobusiness. L’information émane d’un courrier de la défense de ces entreprises signé de Maître Paulin Esmel Beraudy, avocat à Toulon (France). Il a adressé le courrier aux souscripteurs. Le courrier daté du 20 mars et consultable sur le site internet d’Agronomix, est adressé aux souscripteurs.
« L’Etat de Côte d’Ivoire qui est à l’origine du gel des avoirs, tente de se soustraire du litige pour laisser que les banques face à nous. C’est pourquoi nous avons décidé de porter cette affaire devant les tribunaux ivoiriens. La saisine de la Justice ivoirienne est engagée ce Iundi 20 mars 2017 afin de sécuriser vos investissements et préserver vos intérêts », argumente Me EsmeI Beraudy. II dit ne pas comprendre pourquoi les souscripteurs ne sont plus payés par le Trésor public mais par les banques. Ce procédé, selon lui, est tout de même illégal et prouve que l’Etat de Côte d’Ivoire qui est à l’origine du gel des avoirs, tente de se soustraire du litige pour livrer les banques aux souscripteurs. C’est cet acte qui, a-t-il révélé, a motivé la plainte en justice. La défense de Monhévéa.com et Agromix demande aux juges d’interdire aux banques de se dessaisir des fonds des entreprises dont elles ont la garde, d’ordonner le dégel des comptes sous astreinte de 15 millions FCFA (22800 euros) par jour de retard. Non sans condamner chacune des 16 banques au paiement d’une somme de 20 milliards FCFA (30,4 millions d’euros) en réparation du préjudice causé aux souscripteurs des deux entreprises suscitées. « Nous mesurons vos inquiétudes et les désagréments occasionnés par le retard dans le versement de vos Retours sur investissement ‘’Rsi’’ », réconforte-t-il. Il promet une résolution rapide de ce contentieux.
Me Esmel Beraud a rappelé que c’est au cours de son premier voyage à Abidjan, du 17 au 27 février 2017, qu’il a adressé une mise en demeure aux 16 banques qui détiennent les fonds de Monhévéa.com et Agromix. « Il s’est avéré que les autorités ivoiriennes ainsi que les banques ont changé de position où le Trésor public ne paiera plus les souscripteurs mais les banques », a-t-il révélé;
GOMON Edmond
« L’Etat de Côte d’Ivoire qui est à l’origine du gel des avoirs, tente de se soustraire du litige pour laisser que les banques face à nous. C’est pourquoi nous avons décidé de porter cette affaire devant les tribunaux ivoiriens. La saisine de la Justice ivoirienne est engagée ce Iundi 20 mars 2017 afin de sécuriser vos investissements et préserver vos intérêts », argumente Me EsmeI Beraudy. II dit ne pas comprendre pourquoi les souscripteurs ne sont plus payés par le Trésor public mais par les banques. Ce procédé, selon lui, est tout de même illégal et prouve que l’Etat de Côte d’Ivoire qui est à l’origine du gel des avoirs, tente de se soustraire du litige pour livrer les banques aux souscripteurs. C’est cet acte qui, a-t-il révélé, a motivé la plainte en justice. La défense de Monhévéa.com et Agromix demande aux juges d’interdire aux banques de se dessaisir des fonds des entreprises dont elles ont la garde, d’ordonner le dégel des comptes sous astreinte de 15 millions FCFA (22800 euros) par jour de retard. Non sans condamner chacune des 16 banques au paiement d’une somme de 20 milliards FCFA (30,4 millions d’euros) en réparation du préjudice causé aux souscripteurs des deux entreprises suscitées. « Nous mesurons vos inquiétudes et les désagréments occasionnés par le retard dans le versement de vos Retours sur investissement ‘’Rsi’’ », réconforte-t-il. Il promet une résolution rapide de ce contentieux.
Me Esmel Beraud a rappelé que c’est au cours de son premier voyage à Abidjan, du 17 au 27 février 2017, qu’il a adressé une mise en demeure aux 16 banques qui détiennent les fonds de Monhévéa.com et Agromix. « Il s’est avéré que les autorités ivoiriennes ainsi que les banques ont changé de position où le Trésor public ne paiera plus les souscripteurs mais les banques », a-t-il révélé;
GOMON Edmond