L’Afrique de l’Ouest s’est révélée très affectée par l’émergence de maladies infectieuses parmi lesquelles le fardeau des maladies d’origine animale est particulièrement élevé. L’épidémie de la maladie d’Ebola en 2014 avait montré la fragilité et l’impréparation des systèmes de santé nationaux et régionaux. Il est donc important d’adopter d’une part une approche plus harmonisée de la surveillance des maladies, de la gestion des alertes et de la riposte aux épidémies et d’autre part de la santé publique au sens large dans les pays d’Afrique de l’Ouest.
Financé par l’Agence française de développement (AFD) et le ministère français des Affaires étrangères et du développement international (MAEDI), le projet RIPOST a pour objectif de renforcer les systèmes de santé en améliorant les capacités de santé publique pour la lutte contre les épidémies dans cette région et plus spécifiquement au Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger et Togo. Mandatée par les Chefs d’Etats de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’OOAS se charge de mobiliser les financements pour raffermir les capacités intersectorielles et régionales de surveillance, d’alerte et de lutte et de prévention des maladies pour une meilleure préparation et prise en charge des nombreux épisodes épidémiques et ainsi pouvoir les anticiper.
Du 03 au 05 avril le Dr Xavier Crespin, directeur général de l’OOAS officialisera le démarrage du projet RIPOST à l’hôtel Belle Côte d’Abidjan, en présence des acteurs clés du projet RIPOST : les représentants des institutions nationales de coordination (INC) des six pays partenaires, les représentants de l’AFD et du MAEDI, l’AMP, l’OOAS et le groupement d’opérateurs internationaux. Pendant ces trois jours, le projet RIPOST sera présenté et discuté dans son ensemble en détaillant son cadre de mise en œuvre ainsi que son pilotage. Une première réunion de planification du projet et des activités qui seront exécutées sur l’année 2017 est également prévue.
L’AMP recrutée par l’OOAS comme chef de file d’un groupement d’opérateurs internationaux comprenant l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement (ISPED) de l’université de Bordeaux, l’agence Santé publique France, the International Association of National Public Health Institutes (IANPHI), l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’ONG Solidarité Thérapeutique et Initiatives pour la Santé (SOLTHIS) apporteront à l’OOAS et au pays partenaires leur concours technique pour consolider les capacités des professionnels de santé publique en épidémiologie de terrain et renforcer la mobilisation sociale et communautaire pour la prévention et la lutte contre les épidémies.
Atapointe
Financé par l’Agence française de développement (AFD) et le ministère français des Affaires étrangères et du développement international (MAEDI), le projet RIPOST a pour objectif de renforcer les systèmes de santé en améliorant les capacités de santé publique pour la lutte contre les épidémies dans cette région et plus spécifiquement au Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée, Niger et Togo. Mandatée par les Chefs d’Etats de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), l’OOAS se charge de mobiliser les financements pour raffermir les capacités intersectorielles et régionales de surveillance, d’alerte et de lutte et de prévention des maladies pour une meilleure préparation et prise en charge des nombreux épisodes épidémiques et ainsi pouvoir les anticiper.
Du 03 au 05 avril le Dr Xavier Crespin, directeur général de l’OOAS officialisera le démarrage du projet RIPOST à l’hôtel Belle Côte d’Abidjan, en présence des acteurs clés du projet RIPOST : les représentants des institutions nationales de coordination (INC) des six pays partenaires, les représentants de l’AFD et du MAEDI, l’AMP, l’OOAS et le groupement d’opérateurs internationaux. Pendant ces trois jours, le projet RIPOST sera présenté et discuté dans son ensemble en détaillant son cadre de mise en œuvre ainsi que son pilotage. Une première réunion de planification du projet et des activités qui seront exécutées sur l’année 2017 est également prévue.
L’AMP recrutée par l’OOAS comme chef de file d’un groupement d’opérateurs internationaux comprenant l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement (ISPED) de l’université de Bordeaux, l’agence Santé publique France, the International Association of National Public Health Institutes (IANPHI), l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et l’ONG Solidarité Thérapeutique et Initiatives pour la Santé (SOLTHIS) apporteront à l’OOAS et au pays partenaires leur concours technique pour consolider les capacités des professionnels de santé publique en épidémiologie de terrain et renforcer la mobilisation sociale et communautaire pour la prévention et la lutte contre les épidémies.
Atapointe