Une réunion de planification et du Comité de pilotage du projet RIPOST, projet fiancé par la France, s’est ouverte lundi, à Abidjan, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Selon Patrick Dauby, Chef de projet de la Division de la santé et de la protection sociale à l’Agence française de développement (AFD), sa structure « est positionnée comme le bailleur de fonds qui a financé ce projet avec le ministère français des affaires étrangères » .
Expliquant le projet, M. Dauby a souligné qu’il découle de la crise d’Ebola que la région ouest africaine a vécue. « Les systèmes de santé étaient défaillants, insuffisants pour répondre à une situation de grande ampleur que celle que nous avons connues avec Ebola », a rappelé le Chef de projet à l’AFD .
« Avec la première étape qui était l’urgence, la réponse pour stabiliser et protéger les malades, dans un second temps , des réflexions ont été menées pour renforcer les capacités des pays dans le cadre de la surveillance…, la prévention, la lutte contre les maladies », a argumenté Patrick Dauby qui estime que le projet est dans « l’ordre de 24 millions d’euros avec 03 grandes composantes ».
A son tour, Xavier Crespin- Directeur Général de l’Organisation ouest Africaine de la santé (OOAS), a reconnu que « notre système de surveillance ne répond pas comme on le veut et notre riposte n’est pas adéquate » .
Le projet RIPOST s’articule autour de trois axes d’intervention. Il s’agit du renforcement des capacités des professionnels de santé publique, de la mobilisation sociale et communautaire. Le renforcement de l’expertise de l’OOAS et le soutien de la mise en place du réseau des Etats et des partenaires techniques demeure le troisième axe.
SY/ls/APA
Selon Patrick Dauby, Chef de projet de la Division de la santé et de la protection sociale à l’Agence française de développement (AFD), sa structure « est positionnée comme le bailleur de fonds qui a financé ce projet avec le ministère français des affaires étrangères » .
Expliquant le projet, M. Dauby a souligné qu’il découle de la crise d’Ebola que la région ouest africaine a vécue. « Les systèmes de santé étaient défaillants, insuffisants pour répondre à une situation de grande ampleur que celle que nous avons connues avec Ebola », a rappelé le Chef de projet à l’AFD .
« Avec la première étape qui était l’urgence, la réponse pour stabiliser et protéger les malades, dans un second temps , des réflexions ont été menées pour renforcer les capacités des pays dans le cadre de la surveillance…, la prévention, la lutte contre les maladies », a argumenté Patrick Dauby qui estime que le projet est dans « l’ordre de 24 millions d’euros avec 03 grandes composantes ».
A son tour, Xavier Crespin- Directeur Général de l’Organisation ouest Africaine de la santé (OOAS), a reconnu que « notre système de surveillance ne répond pas comme on le veut et notre riposte n’est pas adéquate » .
Le projet RIPOST s’articule autour de trois axes d’intervention. Il s’agit du renforcement des capacités des professionnels de santé publique, de la mobilisation sociale et communautaire. Le renforcement de l’expertise de l’OOAS et le soutien de la mise en place du réseau des Etats et des partenaires techniques demeure le troisième axe.
SY/ls/APA