L'Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) s'est déclarée alarmée vendredi par la poursuite de la violence au Soudan du Sud, illustrée par une récente attaque dans la ville de Pajok qui a entraîné de nouveaux mouvements de populations.
L'attaque dans cette localité de 50.000 habitants de la région d'Equatoria oriental a causé la fuite de nouveaux réfugiés en quête de sécurité. Près de 4.000 personnes ont immédiatement fui le pays au lendemain de cette attaque, a précisé un porte-parole du HCR, Babar Baloch, dans un communiqué.
Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), cette propagation de la violence est un développement inquiétant. Depuis le 3 avril, plus de 6.000 Sud-Soudanais se sont réfugiés dans le district de Lamwo, au nord de l'Ouganda.
L'Ouganda accueille actuellement plus de 832.000 réfugiés sud-soudanais. En moyenne, plus de 2.000 réfugiés chaque jour quittent le Soudan du Sud pour fuir l'insécurité, la violence et la famine. Plus de 62% des nouveaux arrivants sont des enfants.
(AIP)
kam
L'attaque dans cette localité de 50.000 habitants de la région d'Equatoria oriental a causé la fuite de nouveaux réfugiés en quête de sécurité. Près de 4.000 personnes ont immédiatement fui le pays au lendemain de cette attaque, a précisé un porte-parole du HCR, Babar Baloch, dans un communiqué.
Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), cette propagation de la violence est un développement inquiétant. Depuis le 3 avril, plus de 6.000 Sud-Soudanais se sont réfugiés dans le district de Lamwo, au nord de l'Ouganda.
L'Ouganda accueille actuellement plus de 832.000 réfugiés sud-soudanais. En moyenne, plus de 2.000 réfugiés chaque jour quittent le Soudan du Sud pour fuir l'insécurité, la violence et la famine. Plus de 62% des nouveaux arrivants sont des enfants.
(AIP)
kam