Le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a échangé ce mardi 18 avril 2017, au Palais de la Présidence de la République, avec le Président de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples, l’Honorable Juge Sylvain ORE.
Dans la déclaration faite au terme de la rencontre, l’Honorable Juge Sylvain ORE a indiqué qu’il est venu exprimer au Chef de l’Etat ses remerciements pour le ‘’soutien inconditionnel’’ que la Côte d’Ivoire apporte au mandat de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.
A cet égard, il a rappelé que la Côte d’Ivoire a non seulement ratifié le Protocole portant création de la Cour, mais elle a également fait la déclaration qui permet aux individus et aux Organisations Non Gouvernementales (ONG) de saisir directement la Cour Africaine. Ce qui permet à la Côte d’Ivoire de figurer aujourd’hui parmi les pays africains ayant fait cette déclaration.
Pour le Juge – Président Sylvain ORE, dans le monde du contentieux international, c’est un fait ‘’extrêmement notable’’. Il a, par ailleurs, ajouté avoir saisi l’occasion de l’entretien avec le Président Alassane OUATTARA pour l’informer de ce que la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples tenait à organiser des activités très importantes en Côte d’Ivoire au cours de cette année 2017. Ceci, pour marquer sa ‘’reconnaissance’’ vis- à-vis de l’engagement de la Côte d’Ivoire en faveur de la gouvernance et de la question des Droits de l’Homme sur le continent africain.
Il s’agit, selon l’Honorable Juge Sylvain ORE, de la réunion sur le ‘’Dialogue judiciaire continental’’ qui va regrouper les sommités africaines et étrangères du monde judiciaire ; et de la ‘’ 47ème Session ordinaire de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples’’ qui va se tenir à Abidjan du 13 au 24 novembre 2017. Toutes choses qui feront de la Côte d’Ivoire, selon lui, la ‘’Capitale judiciaire’’ de l’Afrique pendant un moment, en particulier pour ce qui est de la protection des Droits de l’Homme sur le continent.
Notons que le Secrétaire Général de la Présidence de la République, le Ministre Patrick ACHI et le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Sansan KAMBILE, ont pris part à cette rencontre.
Dans la déclaration faite au terme de la rencontre, l’Honorable Juge Sylvain ORE a indiqué qu’il est venu exprimer au Chef de l’Etat ses remerciements pour le ‘’soutien inconditionnel’’ que la Côte d’Ivoire apporte au mandat de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples.
A cet égard, il a rappelé que la Côte d’Ivoire a non seulement ratifié le Protocole portant création de la Cour, mais elle a également fait la déclaration qui permet aux individus et aux Organisations Non Gouvernementales (ONG) de saisir directement la Cour Africaine. Ce qui permet à la Côte d’Ivoire de figurer aujourd’hui parmi les pays africains ayant fait cette déclaration.
Pour le Juge – Président Sylvain ORE, dans le monde du contentieux international, c’est un fait ‘’extrêmement notable’’. Il a, par ailleurs, ajouté avoir saisi l’occasion de l’entretien avec le Président Alassane OUATTARA pour l’informer de ce que la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples tenait à organiser des activités très importantes en Côte d’Ivoire au cours de cette année 2017. Ceci, pour marquer sa ‘’reconnaissance’’ vis- à-vis de l’engagement de la Côte d’Ivoire en faveur de la gouvernance et de la question des Droits de l’Homme sur le continent africain.
Il s’agit, selon l’Honorable Juge Sylvain ORE, de la réunion sur le ‘’Dialogue judiciaire continental’’ qui va regrouper les sommités africaines et étrangères du monde judiciaire ; et de la ‘’ 47ème Session ordinaire de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples’’ qui va se tenir à Abidjan du 13 au 24 novembre 2017. Toutes choses qui feront de la Côte d’Ivoire, selon lui, la ‘’Capitale judiciaire’’ de l’Afrique pendant un moment, en particulier pour ce qui est de la protection des Droits de l’Homme sur le continent.
Notons que le Secrétaire Général de la Présidence de la République, le Ministre Patrick ACHI et le Garde des Sceaux, Ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Sansan KAMBILE, ont pris part à cette rencontre.