Abidjan - Huit romancières de différents pays d’Afrique ont partagé leurs visions sur la littérature féminine africaine, à l’occasion d’un salon littéraire organisé jeudi à Rabat, dans le cadre de la manifestation culturelle dénommée « L’Afrique en capitale ».
Lors de cette rencontre littéraire, tenue dans le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI), sous le thème « Voix de femmes », Scholastique Mukasonga (Rwanda), Leila Abouzeid (Maroc), Rabâa Abdelkefi (Tunisie), Nora Amin (Egypte), Sefi Atta (Nigeria), Khadi Hane (Sénégal) Latifa Baqa (Maroc) et Siham Bouhlal (France/Maroc) ont partagé avec un public venu nombreux leur conception de la littérature et les thèmes qu’elles abordent.
Selon l’agence de presse officielle du Maroc, la MAP, cette rencontre, animée par les écrivains marocains Kebir Mustapha Ammi et Hassan Nejmi, a été également l’occasion de plonger dans des parcours littéraires aussi divers que riches de femmes.
Ces dernières ont décidé de prendre leur plume et de s’exprimer, animées en cela par la volonté de mettre les mots sur les maux, militer pour les droits de leurs compatriotes, dénoncer le lourd poids des traditions, changer les mentalités, revendiquer des changements sociaux majeurs et valoriser la femme.
Ce salon a été initié par le CNDH en partenariat avec l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), l’Académie du Royaume du Maroc, la FNM et l’Université internationale de Rabat (UIR).
(AIP)
cmas
Lors de cette rencontre littéraire, tenue dans le Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI), sous le thème « Voix de femmes », Scholastique Mukasonga (Rwanda), Leila Abouzeid (Maroc), Rabâa Abdelkefi (Tunisie), Nora Amin (Egypte), Sefi Atta (Nigeria), Khadi Hane (Sénégal) Latifa Baqa (Maroc) et Siham Bouhlal (France/Maroc) ont partagé avec un public venu nombreux leur conception de la littérature et les thèmes qu’elles abordent.
Selon l’agence de presse officielle du Maroc, la MAP, cette rencontre, animée par les écrivains marocains Kebir Mustapha Ammi et Hassan Nejmi, a été également l’occasion de plonger dans des parcours littéraires aussi divers que riches de femmes.
Ces dernières ont décidé de prendre leur plume et de s’exprimer, animées en cela par la volonté de mettre les mots sur les maux, militer pour les droits de leurs compatriotes, dénoncer le lourd poids des traditions, changer les mentalités, revendiquer des changements sociaux majeurs et valoriser la femme.
Ce salon a été initié par le CNDH en partenariat avec l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), l’Académie du Royaume du Maroc, la FNM et l’Université internationale de Rabat (UIR).
(AIP)
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