Bonoua - Lors de la cérémonie d’ouverture officielle de la 37ème édition du Popo Carnaval de Bonoua, tous les intervenants ont affiché et souligné l’impérieuse nécessité d’inscrire cet évènement culturel annuel dans un creuset touristique et économique.
Pour le maire de Bonoua, Djowan Téké Norbert, le Popo, une fête culturelle majeure, est devenu un label à amplifier et à pérenniser pour mettre Bonoua, Grand-Bassam et le Sud-Comoé dans une dynamique de développement en vue de l’émergence escomptée à l’horizon 2020.
Il a donc annoncé la construction du palais Noudjou qui va servir de siège du Popo. D’ailleurs, la 1ère pierre de cet édifice a été posée le 27 janvier.
Quant au commissaire général, Hoba Jean, il a dévoilé les rêves que nourrissent les organisateurs, à savoir sortir le Popo de la fête et du folklore pour être un "outil de développement compétitif qui assumera son rôle de pionnier des plateformes culturelles et artistiques en Côte d’Ivoire".
Aux yeux de M. Adomon Adoma, porteur du message de l’Unesco, la créativité en Côte d’Ivoire n’est pas suffisamment capitalisée dans un creuset économique. D’où son appel au secteur privé à s’engager à faire du Popo Carnaval une vitrine de promotion de la culture, un soutien de l’économie ivoirienne.
Le directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie, Dembélé Al Foussény, a indiqué, pour sa part, que le Popo fait rayonner la Côte d’Ivoire, saluant le fait qu’à Bonoua, ville agricole et industrielle, où la valeur travail est une réalité, la culture se met aussi résolument en marche.
L’Etat de Côte d’Ivoire s’active à la pérennisation du Popo Carnaval, a rassuré dans sa conclusion.
As/kp
Pour le maire de Bonoua, Djowan Téké Norbert, le Popo, une fête culturelle majeure, est devenu un label à amplifier et à pérenniser pour mettre Bonoua, Grand-Bassam et le Sud-Comoé dans une dynamique de développement en vue de l’émergence escomptée à l’horizon 2020.
Il a donc annoncé la construction du palais Noudjou qui va servir de siège du Popo. D’ailleurs, la 1ère pierre de cet édifice a été posée le 27 janvier.
Quant au commissaire général, Hoba Jean, il a dévoilé les rêves que nourrissent les organisateurs, à savoir sortir le Popo de la fête et du folklore pour être un "outil de développement compétitif qui assumera son rôle de pionnier des plateformes culturelles et artistiques en Côte d’Ivoire".
Aux yeux de M. Adomon Adoma, porteur du message de l’Unesco, la créativité en Côte d’Ivoire n’est pas suffisamment capitalisée dans un creuset économique. D’où son appel au secteur privé à s’engager à faire du Popo Carnaval une vitrine de promotion de la culture, un soutien de l’économie ivoirienne.
Le directeur de cabinet du ministre de la Culture et de la Francophonie, Dembélé Al Foussény, a indiqué, pour sa part, que le Popo fait rayonner la Côte d’Ivoire, saluant le fait qu’à Bonoua, ville agricole et industrielle, où la valeur travail est une réalité, la culture se met aussi résolument en marche.
L’Etat de Côte d’Ivoire s’active à la pérennisation du Popo Carnaval, a rassuré dans sa conclusion.
As/kp