Le premier test grandeur nature pour le vaccin le plus avancé mais à l'efficacité limitée a été concomitamment fait lundi, au Kenya, au Ghana et au Malawi, par l’Organisation mondiale de la santé.
Ces trois pays avaient participé à de précédents tests à plus petite échelle du "Mosquirix" (aussi appelé RTS,S), mis au point par le géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) en partenariat avec l'ONG Path malaria vaccine initiative pour protéger les enfants en bas âge., qui ambitionne de vacciner au moins 360.000 enfants africains contre le paludisme d'ici à 2020.
Combiné à des méthodes de diagnostic, des traitements et des mesures de prévention éprouvés, comme les moustiquaires imprégnées de répulsif anti-moustique, "ce vaccin pourrait sauver des dizaines de milliers de vies en Afrique", a déclaré Matshidiso Moeti, directrice Afrique de l'OMS. "C'est une arme parmi d'autres".
"Les informations rassemblées lors de ce programme pilote nous aideront à prendre les décisions pour une utilisation plus large de ce vaccin", a-elle ajouté.
De 2018 à 2020, l'OMS ambitionne de vacciner 120.000 enfants de moins de deux ans dans chacun des pays sélectionnés pour ce projet pilote. Seront prioritaires les zones caractérisées par des épisodes cycliques de fièvre plus ou moins graves pouvant notamment être accompagnés de diarrhées, vomissements ou maux de tête.
Le vaccin, dont le développement a débuté dans les années 80, agit au moins pendant quatre ans et demi. Quatre doses du vaccin doivent être injectées à l'enfant lorsqu'il est âgé de cinq mois, six mois, sept mois et deux ans.
L'Afrique est de très loin le continent le plus touché par le paludisme, comptant pour 92% des 429.000 personnes tuées dans le monde en 2015 par cette maladie transmise par des moustiques et également appelée malaria, selon des chiffres de l'OMS. Les enfants de moins de cinq ans représentent plus des deux tiers de ces décès, rappelle-t-on.
tls/fmo
Ces trois pays avaient participé à de précédents tests à plus petite échelle du "Mosquirix" (aussi appelé RTS,S), mis au point par le géant pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) en partenariat avec l'ONG Path malaria vaccine initiative pour protéger les enfants en bas âge., qui ambitionne de vacciner au moins 360.000 enfants africains contre le paludisme d'ici à 2020.
Combiné à des méthodes de diagnostic, des traitements et des mesures de prévention éprouvés, comme les moustiquaires imprégnées de répulsif anti-moustique, "ce vaccin pourrait sauver des dizaines de milliers de vies en Afrique", a déclaré Matshidiso Moeti, directrice Afrique de l'OMS. "C'est une arme parmi d'autres".
"Les informations rassemblées lors de ce programme pilote nous aideront à prendre les décisions pour une utilisation plus large de ce vaccin", a-elle ajouté.
De 2018 à 2020, l'OMS ambitionne de vacciner 120.000 enfants de moins de deux ans dans chacun des pays sélectionnés pour ce projet pilote. Seront prioritaires les zones caractérisées par des épisodes cycliques de fièvre plus ou moins graves pouvant notamment être accompagnés de diarrhées, vomissements ou maux de tête.
Le vaccin, dont le développement a débuté dans les années 80, agit au moins pendant quatre ans et demi. Quatre doses du vaccin doivent être injectées à l'enfant lorsqu'il est âgé de cinq mois, six mois, sept mois et deux ans.
L'Afrique est de très loin le continent le plus touché par le paludisme, comptant pour 92% des 429.000 personnes tuées dans le monde en 2015 par cette maladie transmise par des moustiques et également appelée malaria, selon des chiffres de l'OMS. Les enfants de moins de cinq ans représentent plus des deux tiers de ces décès, rappelle-t-on.
tls/fmo