Abidjan– Comédienne, actrice, scénariste, chanteuse, Jeanne Tessia, étend son univers culturel à la poésie des mots à travers "Le démon de midi", retranscription scripturale de sa mini-série télé éponyme, qui vient de paraître dans la collection Tropiques chez Frat Mat Editions.
"Gravié et Ini ont tout pour être heureux : un mariage de 21 ans, quatre beaux enfants, un compte en banque bien fourni et des amis bienveillants. Mais, lorsque le malheur s’invite dans la famille, leur entourage ne tarde pas à découvrir que, derrière les sourires épanouis, se cachaient bien des secrets", résume l’éditeur.
En fait de secrets, ils sont nombreux. Qu’ils soient lourdement et sereinement portés par le richissime Gravié, ou avec crainte par Ini, sa charmante épouse qui cache un non moins condamnable (pardonnable ?) jardin secret.
Au début, le scénario semble linaire, le temps de camper les personnages mais au fil de la narration, l’intrigue se noue, déroutant, accrochant le suspense jusqu’au désastre, après la voluptueuse et vigoureuse épectase de Gravié au bras de sa tendre maitresse… dans un hôtel.
Jeanne Tessia surprend par la qualité de la verve et du verbe, la justesse de la description qui assortit les lieux à la tenue et à la bonne tenue, un univers que peuvent bouleverser des "broussards" qui débarquent dans le paisible oasis de bonheur factice où évoluent des enfants, innocents, mais dont "la folie" de la mère n’empêchera pas l’union et la réussite.
La fin de la vie d’Ini donne à réfléchir même quand "un soleil annonciateur de belles promesses se lève sur Abidjan" ou et surtout quand l’on croque la vie à pleine dents et que surviennent les épreuves.
aaa/kam
"Gravié et Ini ont tout pour être heureux : un mariage de 21 ans, quatre beaux enfants, un compte en banque bien fourni et des amis bienveillants. Mais, lorsque le malheur s’invite dans la famille, leur entourage ne tarde pas à découvrir que, derrière les sourires épanouis, se cachaient bien des secrets", résume l’éditeur.
En fait de secrets, ils sont nombreux. Qu’ils soient lourdement et sereinement portés par le richissime Gravié, ou avec crainte par Ini, sa charmante épouse qui cache un non moins condamnable (pardonnable ?) jardin secret.
Au début, le scénario semble linaire, le temps de camper les personnages mais au fil de la narration, l’intrigue se noue, déroutant, accrochant le suspense jusqu’au désastre, après la voluptueuse et vigoureuse épectase de Gravié au bras de sa tendre maitresse… dans un hôtel.
Jeanne Tessia surprend par la qualité de la verve et du verbe, la justesse de la description qui assortit les lieux à la tenue et à la bonne tenue, un univers que peuvent bouleverser des "broussards" qui débarquent dans le paisible oasis de bonheur factice où évoluent des enfants, innocents, mais dont "la folie" de la mère n’empêchera pas l’union et la réussite.
La fin de la vie d’Ini donne à réfléchir même quand "un soleil annonciateur de belles promesses se lève sur Abidjan" ou et surtout quand l’on croque la vie à pleine dents et que surviennent les épreuves.
aaa/kam