Bouaké, 02 mai (AIP)-Le secrétaire général de la préfecture de Bouaké, Koné Vakaba, a dénoncé, lundi, à Bouaké, l’incivisme des populations locales, exhortant les travailleurs à s’inscrire dans la voie de la dénonciation pour contribuer au changement.
Lors de la cérémonie officielle de la fête du travail, le secrétaire général de préfecture a décrié le non-respect des feux tricolores, du droit d’aînesse, des institutions et de la hiérarchie dans l’administration.
«A Bouaké, on ne respecte plus rien», a-t-il affirmé. Puis, il a appelé les populations au changement en conseillant aux travailleurs de l’administration de faire la différence en évitant d’entrer ‘’en contradiction avec leurs supérieurs hiérarchiques’’ au risque d’être qualifiés «d’indisciplinés» et répondre à des demandes d’explication.
L’incivisme des usagers de la route est source d’insécurité et occasionne des accidents. Les auteurs indexés sont très souvent les chauffeurs de moto-taxi, une profession née dans la crise. L’administrateur civil les exhorte au changement de comportement à l’image de leurs collègues de Korhogo qui s’efforcent d’obéir aux normes en vigueur. En effet, Korhogo a vécu les temps de la crise ivoirienne au même titre que la ville de Bouaké.
La fête du travail a été marquée par un défilé des couches socioprofessionnelles et des allocutions.
nbf/fmo
Lors de la cérémonie officielle de la fête du travail, le secrétaire général de préfecture a décrié le non-respect des feux tricolores, du droit d’aînesse, des institutions et de la hiérarchie dans l’administration.
«A Bouaké, on ne respecte plus rien», a-t-il affirmé. Puis, il a appelé les populations au changement en conseillant aux travailleurs de l’administration de faire la différence en évitant d’entrer ‘’en contradiction avec leurs supérieurs hiérarchiques’’ au risque d’être qualifiés «d’indisciplinés» et répondre à des demandes d’explication.
L’incivisme des usagers de la route est source d’insécurité et occasionne des accidents. Les auteurs indexés sont très souvent les chauffeurs de moto-taxi, une profession née dans la crise. L’administrateur civil les exhorte au changement de comportement à l’image de leurs collègues de Korhogo qui s’efforcent d’obéir aux normes en vigueur. En effet, Korhogo a vécu les temps de la crise ivoirienne au même titre que la ville de Bouaké.
La fête du travail a été marquée par un défilé des couches socioprofessionnelles et des allocutions.
nbf/fmo
