Abidjan - Dans le cadre du processus des indemnisations des victimes des crises survenues en Côte d’Ivoire, une phase de réparation communautaire va démarrer en juillet, a annoncé mardi, la ministre de la promotion de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, Pr Mariatou Koné, lors d’un point de presse, à son cabinet au plateau.
Selon la ministre, après la phase pilote des indemnisations individuelles qui a permis à environ 4500 victimes et ayant-droits de recevoir leurs chèques, cette phase de réparation communautaire ou collective va consister en des réhabilitations ou réalisations d’infrastructures socio- économiques de base, ou/et au financement d'activités génératrices de revenus pour certaines communautés.
Avant cette étape, des missions de prospection, a-t-elle expliqué, ont été effectuées dans diverses régions du pays notamment à l’Ouest (Bangolo Naibli), dans le Centre (Béoumi, Sakassou Bouaké), au Nord, et le Sud-Ouest, pour recueillir auprès des populations leurs différentes préoccupations, les domaines dans lesquels ils souhaitent voir réaliser des infrastructures susceptibles de favoriser la cohésion sociale, et permettant de lutter contre la pauvreté.
« Le gouvernement accorde une grande importance, parce que ces réparations visent à répondre aux besoins de groupe identifiés comme ayant été des victimes directes ou indirectes des crises survenues, elles prennent en compte tous les aspects de la vie sociale notamment la santé, l’éducation, l’accès à l’eau potable, au service public, la notion de l’égalité sociale et économique », a-t-elle signifié.
Les réparations communautaires seront entreprises en collaboration avec des partenaires techniques et financiers notamment le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), le Fonds de la Cour pénal internationale(CPI). Un fonds de 20 milliards F CFA a été alloué par l’Etat ivoirien à ce processus d’indemnisation, a fait noter la ministre.
tad/akn/fmo
Selon la ministre, après la phase pilote des indemnisations individuelles qui a permis à environ 4500 victimes et ayant-droits de recevoir leurs chèques, cette phase de réparation communautaire ou collective va consister en des réhabilitations ou réalisations d’infrastructures socio- économiques de base, ou/et au financement d'activités génératrices de revenus pour certaines communautés.
Avant cette étape, des missions de prospection, a-t-elle expliqué, ont été effectuées dans diverses régions du pays notamment à l’Ouest (Bangolo Naibli), dans le Centre (Béoumi, Sakassou Bouaké), au Nord, et le Sud-Ouest, pour recueillir auprès des populations leurs différentes préoccupations, les domaines dans lesquels ils souhaitent voir réaliser des infrastructures susceptibles de favoriser la cohésion sociale, et permettant de lutter contre la pauvreté.
« Le gouvernement accorde une grande importance, parce que ces réparations visent à répondre aux besoins de groupe identifiés comme ayant été des victimes directes ou indirectes des crises survenues, elles prennent en compte tous les aspects de la vie sociale notamment la santé, l’éducation, l’accès à l’eau potable, au service public, la notion de l’égalité sociale et économique », a-t-elle signifié.
Les réparations communautaires seront entreprises en collaboration avec des partenaires techniques et financiers notamment le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), le Fonds de la Cour pénal internationale(CPI). Un fonds de 20 milliards F CFA a été alloué par l’Etat ivoirien à ce processus d’indemnisation, a fait noter la ministre.
tad/akn/fmo