Tiassalé - L'Organisation non gouvernementale ASAPSU (Association de soutien à l'auto promotion sanitaire urbaine) a sensibilisé, mercredi, lors d’un atelier, à la salle des réunions de la sous préfecture de Tiassalé, les autorités administratives et politiques, les leaders communautaires et d'opinions sur leurs responsabilités sur la lutte et la prévention contre le paludisme.
Selon Obrou Adou Bernard, le premier moyen de lutte contre le paludisme est l’assainissement du cadre de vie : « Il faut, à cet effet, nettoyer les hautes herbes, curer les caniveaux et assécher les points d’eaux stagnantes », a-t-il demandé, précisant que tous ces endroits constituent des lieux de reproduction des moustiques.
« En les supprimant, on supprime la chaine de reproduction », a-t-il indiqué, tout en encourageant les populations à l’utilisation de moustiquaires imprégnées pour éviter les piqures de moustiques.
Les participants pour leur part ont soulevé des préoccupations dont notamment la présence de nombreux bas fonds dans la ville. Ils se sont en outre engagés à s’investir dans la sensibilisation de masse afin d’éradiquer la maladie.
Selon Dr N’Guessan Kouamé, le paludisme reste la première cause des consultations médicale et la première cause de mortalité dans le district sanitaire de Tiassalé.
kd/ti/fmo
Selon Obrou Adou Bernard, le premier moyen de lutte contre le paludisme est l’assainissement du cadre de vie : « Il faut, à cet effet, nettoyer les hautes herbes, curer les caniveaux et assécher les points d’eaux stagnantes », a-t-il demandé, précisant que tous ces endroits constituent des lieux de reproduction des moustiques.
« En les supprimant, on supprime la chaine de reproduction », a-t-il indiqué, tout en encourageant les populations à l’utilisation de moustiquaires imprégnées pour éviter les piqures de moustiques.
Les participants pour leur part ont soulevé des préoccupations dont notamment la présence de nombreux bas fonds dans la ville. Ils se sont en outre engagés à s’investir dans la sensibilisation de masse afin d’éradiquer la maladie.
Selon Dr N’Guessan Kouamé, le paludisme reste la première cause des consultations médicale et la première cause de mortalité dans le district sanitaire de Tiassalé.
kd/ti/fmo