Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) dirigé par l’ex-Chef d’Etat Henri Konan Bédié a ‘’déploré et condamné’’, samedi, la reprise la mutinerie dans le pays, invitant le gouvernement à poursuivre le dialogue afin de ‘’régler définitivement ce contentieux’’.
Dans une déclaration transmise à APA, le PDCI exprime sa surprise de ‘’constater, dans la nuit du jeudi 11 à vendredi 12 et les jours suivants, la reprise de la mutinerie dans les casernes militaires et dans les villes de Côte d’Ivoire, créant la psychose au sein des populations et entraînant le ralentissement des activités économiques’’.
‘’(…) le PDCI-RDA déplore et condamne, une fois encore, l’utilisation de la violence comme mode de revendication et de règlement des conflits sociaux et appelle au calme’’, stipule le texte, précisant que ‘’le PDCI-RDA apporte son soutien au Président de la République, au Gouvernement et aux Institutions de la République’’.
Par ailleurs, le PDCI membre du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) ‘’demande au gouvernement de poursuivre le dialogue afin de régler définitivement ce contentieux’’.
‘’Le PDCI-RDA exhorte nos soldats, chargés de la sécurité du Pays, à privilégier l’intérêt supérieur de la Nation’’ conclut le texte, rappelant les efforts déployés par le gouvernement en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des soldats.
Jeudi soir, la télévision nationale a présenté une rencontre entre le président ivoirien Alassane Ouattara et des soldats se réclamant des ‘’8400’’ soldats qui se sont mutinés en janvier.
Dans l’élément diffusé, le sergent Fofana présenté comme le porte-parole des mutinés a déclaré à M. Ouattara ‘’notre renonciation aux revendications d’ordre financier ’’, à l’origine de la mutinerie de janvier, en présentant leurs ‘’excuses’’ au chef de l’Etat.
Les militaires réclamaient initialement aux premières heures de la mutinerie, la somme de 12 millions de FCFA par personne dont une partie (5 millions FCFA) a été perçue en février.
LS/APA
Dans une déclaration transmise à APA, le PDCI exprime sa surprise de ‘’constater, dans la nuit du jeudi 11 à vendredi 12 et les jours suivants, la reprise de la mutinerie dans les casernes militaires et dans les villes de Côte d’Ivoire, créant la psychose au sein des populations et entraînant le ralentissement des activités économiques’’.
‘’(…) le PDCI-RDA déplore et condamne, une fois encore, l’utilisation de la violence comme mode de revendication et de règlement des conflits sociaux et appelle au calme’’, stipule le texte, précisant que ‘’le PDCI-RDA apporte son soutien au Président de la République, au Gouvernement et aux Institutions de la République’’.
Par ailleurs, le PDCI membre du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) ‘’demande au gouvernement de poursuivre le dialogue afin de régler définitivement ce contentieux’’.
‘’Le PDCI-RDA exhorte nos soldats, chargés de la sécurité du Pays, à privilégier l’intérêt supérieur de la Nation’’ conclut le texte, rappelant les efforts déployés par le gouvernement en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des soldats.
Jeudi soir, la télévision nationale a présenté une rencontre entre le président ivoirien Alassane Ouattara et des soldats se réclamant des ‘’8400’’ soldats qui se sont mutinés en janvier.
Dans l’élément diffusé, le sergent Fofana présenté comme le porte-parole des mutinés a déclaré à M. Ouattara ‘’notre renonciation aux revendications d’ordre financier ’’, à l’origine de la mutinerie de janvier, en présentant leurs ‘’excuses’’ au chef de l’Etat.
Les militaires réclamaient initialement aux premières heures de la mutinerie, la somme de 12 millions de FCFA par personne dont une partie (5 millions FCFA) a été perçue en février.
LS/APA