La France a recommandé lundi à ses ressortissants de "limiter les déplacements à Abidjan" et "proscrire" les voyages vers Bouaké (Centre ivoirien), au quatrième jour de la mutinerie des soldats ivoiriens réclamant des primes impayées, dans une note.
"En raison des mouvements de militaires (…) Il est recommandé d’éviter de circuler aux abords des casernes", indique la note publiée par l’ambassade de France en Côte d’Ivoire sur son site internet, précisant qu’"il convient de proscrire les voyages sur Bouaké".
S’agissant des établissements à programme français, ils resteront fermés" mardi "en raison des incertitudes sur l'évolution de la situation" sécuritaire" poursuit la note.
Déclenchée vendredi, la mutinerie des soldats ivoiriens s’est poursuivie lundi dans des villes de l’intérieur dont San-Pedro, seconde ville économique du pays, Gagnoa (Centre-ouest), où les cours n’avaient pas repris dans les lycées français Blaise Pascal et Jacques Prevert.
Vendredi la France a demandé à ses ressortissants vivant en Côte d’Ivoire d'"éviter" les zones de tirs des militaires qui se sont mutinés à Abidjan et dans d’autres villes de l’intérieur, après avoir renoncé la veille à "toute revendication".
Le ministre ivoirien en de la Défense, Alain Richard Donwahi, a annoncé lundi soir au journal télévisé de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) qu’un "accord a été trouvé" entre l’état-major des armées et les militaires qui se sont mutinés depuis vendredi, demandant aux soldats de "retourner dans les casernes", dans une déclaration.
HAN
"En raison des mouvements de militaires (…) Il est recommandé d’éviter de circuler aux abords des casernes", indique la note publiée par l’ambassade de France en Côte d’Ivoire sur son site internet, précisant qu’"il convient de proscrire les voyages sur Bouaké".
S’agissant des établissements à programme français, ils resteront fermés" mardi "en raison des incertitudes sur l'évolution de la situation" sécuritaire" poursuit la note.
Déclenchée vendredi, la mutinerie des soldats ivoiriens s’est poursuivie lundi dans des villes de l’intérieur dont San-Pedro, seconde ville économique du pays, Gagnoa (Centre-ouest), où les cours n’avaient pas repris dans les lycées français Blaise Pascal et Jacques Prevert.
Vendredi la France a demandé à ses ressortissants vivant en Côte d’Ivoire d'"éviter" les zones de tirs des militaires qui se sont mutinés à Abidjan et dans d’autres villes de l’intérieur, après avoir renoncé la veille à "toute revendication".
Le ministre ivoirien en de la Défense, Alain Richard Donwahi, a annoncé lundi soir au journal télévisé de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) qu’un "accord a été trouvé" entre l’état-major des armées et les militaires qui se sont mutinés depuis vendredi, demandant aux soldats de "retourner dans les casernes", dans une déclaration.
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