La base du Centre de coordination des décisions opérationnelles (CCDO) située au camp de la Brigade anti-émeute (BAE), a été attaquée dans la nuit de lundi à mardi à Yopougon dans Ouest d’Abidjan par des individus armés non identifiés.
Selon une source sécuritaire, ‘’c’est aux environs de minuit que la base du CCDO située au camp de la BAE au troisième Pont de Yopougon a été attaquée par des hommes en tenues civiles et armés’’.
‘’Ils sont arrivés à bord d’un véhicule pick-up et ont commencé à tirer. Les éléments du CCDO ont riposté’’, explique la même source, précisant qu’aucun ‘’dégât matériel, ni perte en vie humaine n’a été enregistré’’.
Après une journée de lundi tendue à Bouaké et à Abidjan où des tirs ont été entendus dans des camps militaires, la vie reprenait, mardi matin, son cours normal.
Lundi soir, dans une déclaration radiotélévisée lue par le ministre chargé de la défense Alain Richard Donwahi, le gouvernement ivoirien a dit avoir trouvé ‘’un accord sur les modalités de sortie de crise’’’, à l’issue de deux jours d’échanges entre l’état-major des armées et les soldats’’. Depuis vendredi, des soldats au nombre de 8400, sont dans les rues pour réclamer le paiement de reliquat de primes.
MC/ls/APA
Selon une source sécuritaire, ‘’c’est aux environs de minuit que la base du CCDO située au camp de la BAE au troisième Pont de Yopougon a été attaquée par des hommes en tenues civiles et armés’’.
‘’Ils sont arrivés à bord d’un véhicule pick-up et ont commencé à tirer. Les éléments du CCDO ont riposté’’, explique la même source, précisant qu’aucun ‘’dégât matériel, ni perte en vie humaine n’a été enregistré’’.
Après une journée de lundi tendue à Bouaké et à Abidjan où des tirs ont été entendus dans des camps militaires, la vie reprenait, mardi matin, son cours normal.
Lundi soir, dans une déclaration radiotélévisée lue par le ministre chargé de la défense Alain Richard Donwahi, le gouvernement ivoirien a dit avoir trouvé ‘’un accord sur les modalités de sortie de crise’’’, à l’issue de deux jours d’échanges entre l’état-major des armées et les soldats’’. Depuis vendredi, des soldats au nombre de 8400, sont dans les rues pour réclamer le paiement de reliquat de primes.
MC/ls/APA