Sekou Touré s'est rendu le jeudi 18 mai à Bouaké, épicentre de la mutinerie qui a secoué le pays. Le chef d'état-major des armées ivoiriennes y a demandé pardon pour la mort d'un ex-rebelle démobilisé tué par les mutins.
Devant une centaine de démobilisés, jeudi 18 mai à Bouaké, le général ivoirien Sekou Touré a assuré de sa compassion la famille et les camarades du défunt. « Nous sommes tous choqués, a-t-il déclaré. Je viens vous présenter les excuses de toute l’armée. »
L’homme a été tué pendant les derniers mouvements d’humeur au quartier général des démobilisés − les ex-rebelles qui n’ont pas été intégrés à l’armée, contrairement aux mutins − par des soldats mutins qui ont ouvert le feu sur eux. Les mutins reprochaient... suite de l'article sur Jeune Afrique
Devant une centaine de démobilisés, jeudi 18 mai à Bouaké, le général ivoirien Sekou Touré a assuré de sa compassion la famille et les camarades du défunt. « Nous sommes tous choqués, a-t-il déclaré. Je viens vous présenter les excuses de toute l’armée. »
L’homme a été tué pendant les derniers mouvements d’humeur au quartier général des démobilisés − les ex-rebelles qui n’ont pas été intégrés à l’armée, contrairement aux mutins − par des soldats mutins qui ont ouvert le feu sur eux. Les mutins reprochaient... suite de l'article sur Jeune Afrique