Christiane Assi a été désignée Awoulaba 2017 de la région du Goh, la nuit du samedi 20 mai dernier, par le jury régional du concours de beauté africaine parmi 9 autres candidates, au Lycée professionnel de Gagnoa. L’élection de l’électrotechnicienne de 29 ans, célibataire et mère d’un enfant, par 130 sur 150 points, a été fortement critiquée par Antoinette Yobouet, représentante de Maurice Kakou Guikahué, député de Gagnoa sous-préfecture, au terme de la proclamation des résultats.
«Pour avoir été une proche collaboratrice d’un des initiateurs du concours Awoulaba, en la personne de Pol Dokui, je suis à mesure de dire que les critères élémentaires du concours n’ont pas été respectés. J’ai été déçue par le choix des membres du jury», a vivement dénoncé Antoinette Yobouet.
En outre, la représente du parrain a reproché au président du comité régional, Dr. Firmin Zagadou, la composition du jury majoritairement dominé par les hommes. «Les femmes capables d’apprécier la beauté féminine dans toutes ses composantes ont pratiquement été ignorées. J’avoue que je répare à ma résidence avec un pincement au cœur parce que l’occasion ne m’a pas été donnée de vivre le concours Awoulaba dans son originalité. Je retiens que l’accent a été mis sur les rondeurs. Je suis désolée de le dire, l’Awoulaba ne se limite pas à ce seul critère. Il prend en compte, la taille, la forme, le nez et le teint naturel», a-t-elle insisté.
Quant à l’Awoulaba 2016 du Goh, Stanislas Bleu Sahi, elle n’a pas voulu commenter l’élection Christiane Assi qui suscite encore des débats.
La sonorisation laissait également à désirer avec ses interruptions intempestives. Une des victimes de taille aura été Sylla Yacouba, représentant du maire Bamba Medji, qui a eu du mal à transmettre son message. Séance tenante, il n’a pas manqué de manifester son mécontentement.
Autre fait déplorable. Le maximum de sécurité n’a pas été garanti à l’extérieur comme à l’intérieur de la loge où les fans de l’humoriste Jacques Silvère Bah dit Le Magnific se sont engouffrés pour des séances photographies avec lui. Pendant ce temps, les candidates y attendaient impatiemment les résultats.
Doumbia Namory
Correspondant régional
«Pour avoir été une proche collaboratrice d’un des initiateurs du concours Awoulaba, en la personne de Pol Dokui, je suis à mesure de dire que les critères élémentaires du concours n’ont pas été respectés. J’ai été déçue par le choix des membres du jury», a vivement dénoncé Antoinette Yobouet.
En outre, la représente du parrain a reproché au président du comité régional, Dr. Firmin Zagadou, la composition du jury majoritairement dominé par les hommes. «Les femmes capables d’apprécier la beauté féminine dans toutes ses composantes ont pratiquement été ignorées. J’avoue que je répare à ma résidence avec un pincement au cœur parce que l’occasion ne m’a pas été donnée de vivre le concours Awoulaba dans son originalité. Je retiens que l’accent a été mis sur les rondeurs. Je suis désolée de le dire, l’Awoulaba ne se limite pas à ce seul critère. Il prend en compte, la taille, la forme, le nez et le teint naturel», a-t-elle insisté.
Quant à l’Awoulaba 2016 du Goh, Stanislas Bleu Sahi, elle n’a pas voulu commenter l’élection Christiane Assi qui suscite encore des débats.
La sonorisation laissait également à désirer avec ses interruptions intempestives. Une des victimes de taille aura été Sylla Yacouba, représentant du maire Bamba Medji, qui a eu du mal à transmettre son message. Séance tenante, il n’a pas manqué de manifester son mécontentement.
Autre fait déplorable. Le maximum de sécurité n’a pas été garanti à l’extérieur comme à l’intérieur de la loge où les fans de l’humoriste Jacques Silvère Bah dit Le Magnific se sont engouffrés pour des séances photographies avec lui. Pendant ce temps, les candidates y attendaient impatiemment les résultats.
Doumbia Namory
Correspondant régional