Séguéla - Les populations de la région du Worodougou (Nord-ouest) ont été exhortées à prendre une part active dans la campagne de prévention et de guérison du trachome qui se déroule actuellement à Séguéla et à Kani, les deux départements de la région, a relevé l’AIP, au cours d’une rencontre, lundi, à la préfecture.
« Des agents passent dans les maisons, les gares, les écoles, partout où il y a des rassemblements. Accueillez-les et prenez les médicaments qu’ils vous donnent’’, a conseillé le directeur départemental de la Santé, Dr Béda Kissiédou Simplice, qui a auparavant fait une présentation sur les symptômes et les modes de transmission de la maladie aux chefs de communautés, chefs religieux, directeurs et chefs de service réunis pour la circonstance.
Le trachome est une affection oculaire très contagieuse qui se manifeste par des larmoiements, des céphalées et des démangeaisons des yeux apparentées à la conjonctivite communément appelée ‘’appolo’’ qui, s’il n’est pas traité tôt, peut entraîner la cécité, note-t-on.
‘’Tout le monde peut prendre le médicament, même les femmes enceintes’’, a rassuré Dr Béda qui a précisé la posologie qui est d’une pommade pour les enfants de zéro à six mois, d’un sirop pour les bambins de six mois à cinq ans et de comprimés pour les personnes âgées au-delà.
Au total, 529 agents sont chargés de distribuer, depuis samedi jusqu’à mercredi, les médicaments qui sont gratuits le temps de la campagne et pris soit à titre préventif, soit à titre curatif.
Pour le secrétaire général de la préfecture, c’est ‘’une affaire de santé publique’’ dans laquelle toutes les couches doivent s’impliquer. « Nous vous chargeons d’une mission. Allez informer chacun pour que tout le monde prenne son médicament parce que si vous vous soignez et que le voisin ou le collègue ne l’est pas, c’est comme si vous n’avez rien fait’’, a-t-il présenté subsidiairement aux leaders communautaires et religieux présents.
Selon des données fournies par les responsables de la santé, ce sont un peu plus de 5% des 294 523 habitants de la région du Worodougou qui sont affectés par cette maladie dont la présente campagne est la première du genre.
kkp/fmo
« Des agents passent dans les maisons, les gares, les écoles, partout où il y a des rassemblements. Accueillez-les et prenez les médicaments qu’ils vous donnent’’, a conseillé le directeur départemental de la Santé, Dr Béda Kissiédou Simplice, qui a auparavant fait une présentation sur les symptômes et les modes de transmission de la maladie aux chefs de communautés, chefs religieux, directeurs et chefs de service réunis pour la circonstance.
Le trachome est une affection oculaire très contagieuse qui se manifeste par des larmoiements, des céphalées et des démangeaisons des yeux apparentées à la conjonctivite communément appelée ‘’appolo’’ qui, s’il n’est pas traité tôt, peut entraîner la cécité, note-t-on.
‘’Tout le monde peut prendre le médicament, même les femmes enceintes’’, a rassuré Dr Béda qui a précisé la posologie qui est d’une pommade pour les enfants de zéro à six mois, d’un sirop pour les bambins de six mois à cinq ans et de comprimés pour les personnes âgées au-delà.
Au total, 529 agents sont chargés de distribuer, depuis samedi jusqu’à mercredi, les médicaments qui sont gratuits le temps de la campagne et pris soit à titre préventif, soit à titre curatif.
Pour le secrétaire général de la préfecture, c’est ‘’une affaire de santé publique’’ dans laquelle toutes les couches doivent s’impliquer. « Nous vous chargeons d’une mission. Allez informer chacun pour que tout le monde prenne son médicament parce que si vous vous soignez et que le voisin ou le collègue ne l’est pas, c’est comme si vous n’avez rien fait’’, a-t-il présenté subsidiairement aux leaders communautaires et religieux présents.
Selon des données fournies par les responsables de la santé, ce sont un peu plus de 5% des 294 523 habitants de la région du Worodougou qui sont affectés par cette maladie dont la présente campagne est la première du genre.
kkp/fmo