Bouaké ne sort décidément pas de la spirale de la violence : après les mutins la semaine dernière, les « démobilisés » (d'anciens rebelles non réintégrés à l'armée) réclament à leur tour des primes. Environ 6 000 d’entre eux, selon leur propre décompte, réclament chacun 18 millions de francs CFA (27 000 euros). Ce mardi matin à Bouaké, des affrontements ont tourné au drame, alors que les démobilisés bloquaient l’accès sud de la seconde ville du pays. Une personne grièvement blessée est morte à la mi-journée à l'hôpital, ce qui porte à quatre le nombre d'ex-rebelles tués.
En fin de journée mardi, la vie avait repris son cours à Bouaké. Les gens vaquaient à leur occupations, les véhicules circulaient et rien ne laisser témoigner de l'incident du... suite de l'article sur RFI
En fin de journée mardi, la vie avait repris son cours à Bouaké. Les gens vaquaient à leur occupations, les véhicules circulaient et rien ne laisser témoigner de l'incident du... suite de l'article sur RFI