Le commissaire du gouvernement ivoirien, Ange Kessy, a invité mardi "tout militaire" ayant emporté des armes à Bouaké (Centre) au domicile du directeur de protocole du président de l’Assemblée nationale Souleymane Kamagaté dit "Soul to Soul", à les "déposer" sous peine de radiation, dans une note.
"Tout militaire appréhendé en possession de (ces) armes sera radié des effectifs sans préjudice des sanctions pénales encourues allant d’une peine d’emprisonnement de 10 à 20 ans et d’une amende de 5 à 10 millions Fcfa", indique le texte.
Le 15 mai, des militaires ont "emporté des armes de guerre qui étaient entreposées dans une villa appartenant à M. Kamaraté", à Bouaké, le fief de l’ex-rébellion, lors de la mutinerie du 12 au 16 du même mois.
Le procureur militaire a invité les soldats "détenant des armes à les déposer avant le 31 mai auprès des régions militaires d’Abidjan, Bouaké, Daloa (Centre-ouest) et Korhogo (Nord)".
Une enquête est en cours pour situer les responsabilités, déterminer l’"origine" et le "propriétaire", après la découverte de cette cache d’armes, selon le ministre délégué à la Défense, Alain Richard Donwahi.
EFI
"Tout militaire appréhendé en possession de (ces) armes sera radié des effectifs sans préjudice des sanctions pénales encourues allant d’une peine d’emprisonnement de 10 à 20 ans et d’une amende de 5 à 10 millions Fcfa", indique le texte.
Le 15 mai, des militaires ont "emporté des armes de guerre qui étaient entreposées dans une villa appartenant à M. Kamaraté", à Bouaké, le fief de l’ex-rébellion, lors de la mutinerie du 12 au 16 du même mois.
Le procureur militaire a invité les soldats "détenant des armes à les déposer avant le 31 mai auprès des régions militaires d’Abidjan, Bouaké, Daloa (Centre-ouest) et Korhogo (Nord)".
Une enquête est en cours pour situer les responsabilités, déterminer l’"origine" et le "propriétaire", après la découverte de cette cache d’armes, selon le ministre délégué à la Défense, Alain Richard Donwahi.
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