Abidjan - La directrice générale du Bureau ivoirien du droit d’auteur (BURIDA), Irène Vieira, exhorte les écrivains et les éditeurs à saisir la brigade culturelle pour lutter efficacement contre le piratage et la contrefaçon de leurs œuvres littéraires.
« Il faut que les titulaires de droits c’est-à-dire les écrivains et les éditeurs saisissent le Burida et la brigade culturelle mis à leur disposition au lieu de rester silencieux pour que les officiers de policiers agissent pour assurer la sécurisation de leurs productions constamment piratées », a-t-elle lancé dimanche lors d’une interview accordée à l’AIP.
Mme Vieira a également déploré le fait que les écrivains et les éditeurs sollicitent très peu le Burida, leur structure.
Elle a expliqué que la contrefaçon touche plus les livres scolaires. « Plusieurs œuvres au programme scolaire sont photocopiées par des parents ou des revendeurs parce que les exemplaires ne sont pas suffisants et les originaux n’ont jamais été, la plupart du temps, l’objet de publicité à l’intérieur du pays », a noté la directrice générale du Burida.
Pour le volet numérique, elle a indiqué que la piraterie des œuvres est multiple avec aujourd’hui les « copiés et collés » de contenus des œuvres littéraires pourtant interdit.
« Il faut que les détenteurs des droits portent plaintes également pour bénéficier des fruits de leur imagination et intelligence », a-t-elle recommandé.
tg/kg/akn/kam
« Il faut que les titulaires de droits c’est-à-dire les écrivains et les éditeurs saisissent le Burida et la brigade culturelle mis à leur disposition au lieu de rester silencieux pour que les officiers de policiers agissent pour assurer la sécurisation de leurs productions constamment piratées », a-t-elle lancé dimanche lors d’une interview accordée à l’AIP.
Mme Vieira a également déploré le fait que les écrivains et les éditeurs sollicitent très peu le Burida, leur structure.
Elle a expliqué que la contrefaçon touche plus les livres scolaires. « Plusieurs œuvres au programme scolaire sont photocopiées par des parents ou des revendeurs parce que les exemplaires ne sont pas suffisants et les originaux n’ont jamais été, la plupart du temps, l’objet de publicité à l’intérieur du pays », a noté la directrice générale du Burida.
Pour le volet numérique, elle a indiqué que la piraterie des œuvres est multiple avec aujourd’hui les « copiés et collés » de contenus des œuvres littéraires pourtant interdit.
« Il faut que les détenteurs des droits portent plaintes également pour bénéficier des fruits de leur imagination et intelligence », a-t-elle recommandé.
tg/kg/akn/kam