La Banque mondiale a approuvé, mardi, un crédit de 120 millions de dollars, soit plus de 60 milliards de FCFA en faveur de la Côte d’Ivoire pour financer le Projet d’infrastructures pour le développement urbain et la compétitivité des villes secondaires (PIDUCAS).
Selon un communiqué transmis à APA par cette institution financière internationale, ‘’ce projet contribuera à créer un environnement plus propice au développement des entreprises locales et à rendre les villes concernées plus attractives aux yeux des investisseurs et des travailleurs’’.
Ces interventions, conjuguées à un soutien direct aux PME, sont essentielles pour favoriser la croissance des investissements et la création d’emplois à moyen et long termes.
‘’Les bénéficiaires du projet seront notamment des organismes d’Etat et les municipalités de Bouaké et San Pedro. Mais, outre le secteur public, le projet bénéficiera aussi au secteur privé, puisque des particuliers, des entreprises et des coopératives tireront profit du programme d’appui à l’entrepreneuriat dans les deux villes et aux alentours ; en particulier les femmes, qui sont très présentes dans les petites activités commerciales et de production’’, précise la Banque mondiale.
‘’La Côte d’Ivoire enregistre une croissance économique soutenue depuis 2012. Pour que cette croissance soit durable, il faut un nouveau modèle de développement solidaire, qui passe par un maillage de villes secondaires plus compétitives, en mesure d’étayer l’investissement, la croissance et la réduction de la pauvreté dans l’ensemble du pays. L’essor de ces centres économiques secondaires constitue l’une des priorités du nouveau Plan national de développement adopté par les autorités pour la période 2016-2020’’, explique Pierre Laporte, directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire.
Le gouvernement ivoirien entend commencer, dans un premier temps, par les villes de Bouaké et San Pedro, qui sont, derrière Abidjan, les deuxième et troisième agglomérations les plus compétitives parmi les 14 capitales de district que compte le pays. Ces deux villes sont aussi des pôles de développement stratégiques : San Pedro est, avec Abidjan et Yamoussoukro, l’un des trois nœuds de connexion de la Côte d’Ivoire avec les marchés mondiaux, tandis que Bouaké est considérée comme un centre de liaison régional de premier plan.
LS/APA
Selon un communiqué transmis à APA par cette institution financière internationale, ‘’ce projet contribuera à créer un environnement plus propice au développement des entreprises locales et à rendre les villes concernées plus attractives aux yeux des investisseurs et des travailleurs’’.
Ces interventions, conjuguées à un soutien direct aux PME, sont essentielles pour favoriser la croissance des investissements et la création d’emplois à moyen et long termes.
‘’Les bénéficiaires du projet seront notamment des organismes d’Etat et les municipalités de Bouaké et San Pedro. Mais, outre le secteur public, le projet bénéficiera aussi au secteur privé, puisque des particuliers, des entreprises et des coopératives tireront profit du programme d’appui à l’entrepreneuriat dans les deux villes et aux alentours ; en particulier les femmes, qui sont très présentes dans les petites activités commerciales et de production’’, précise la Banque mondiale.
‘’La Côte d’Ivoire enregistre une croissance économique soutenue depuis 2012. Pour que cette croissance soit durable, il faut un nouveau modèle de développement solidaire, qui passe par un maillage de villes secondaires plus compétitives, en mesure d’étayer l’investissement, la croissance et la réduction de la pauvreté dans l’ensemble du pays. L’essor de ces centres économiques secondaires constitue l’une des priorités du nouveau Plan national de développement adopté par les autorités pour la période 2016-2020’’, explique Pierre Laporte, directeur des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire.
Le gouvernement ivoirien entend commencer, dans un premier temps, par les villes de Bouaké et San Pedro, qui sont, derrière Abidjan, les deuxième et troisième agglomérations les plus compétitives parmi les 14 capitales de district que compte le pays. Ces deux villes sont aussi des pôles de développement stratégiques : San Pedro est, avec Abidjan et Yamoussoukro, l’un des trois nœuds de connexion de la Côte d’Ivoire avec les marchés mondiaux, tandis que Bouaké est considérée comme un centre de liaison régional de premier plan.
LS/APA