Abidjan - Du matériel informatique et médical d’un coût global de 100 millions de francs CFA a été remis, mardi, au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP) pour soutenir et renforcer la surveillance médicale sous régionale post-Ebola et les initiatives de relèvement socio-économique en Afrique de l’Ouest.
Selon le représentant du directeur Pays du programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Luc Gnonlonfoun, cette donation est une contribution du gouvernement Japonais et du (PNUD) aux besoins urgents en matière de gouvernance de la santé, économique et sociale et de la consolidation de la paix dans les zones frontalières et transfrontalières des pays de l’Union du fleuve Mano (Côte d’Ivoire, Guinée, Libéria, Sierra Léone).
Lors de la cérémonie à l’amphithéâtre de l’Institut national de la Santé et de l’Hygiène publique (INHP) à Treichville (Abidjan, sud), l’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Kawamura Hiroshi a souligné que cette remise de matériel s’inscrit dans le projet régional dénommé « Soutenir et renforcer la surveillance médicale sous régionale post-Ebola et les initiatives de relèvement socio-économique en Afrique de l’Ouest financé par le gouvernement de son pays à hauteur de 4,5 million de dollars US, soit 2,7 milliards de FCFA pour une période d’un an.
Bien avant, des activités génératrices de revenus, de formation des équipes de surveillances sanitaire aux frontières, de sensibilisation à la cohésion sociale et plantations écoles dans la région de Danané à l’Ouest de la Côte d’Ivoire ont été mises en œuvre dans la cadre du projet, a-t-il rappelé.
Représentant la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le directeur de l’INHP, Pr Bénié Bi Vroh Joseph, remerciant les donateurs a estimé qu’il apparaît impérieux de renforcer le système de santé en ressources humaines compétentes et en infrastructures performantes et que toutes les initiatives qui visent de tel objectif sont à saluer et à promouvoir. « Les équipements qui nous sont remis ce jour vont nous permettre de renforcer le contrôle », a-t-il indiqué.
Une épidémie à virus Ebola s’est déclarée pour la première fois en Afrique de l’Ouest causant plus de 2500 décès dans l’espace francophone, rappelle-t-on.
bsb/akn/fmo
Selon le représentant du directeur Pays du programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Luc Gnonlonfoun, cette donation est une contribution du gouvernement Japonais et du (PNUD) aux besoins urgents en matière de gouvernance de la santé, économique et sociale et de la consolidation de la paix dans les zones frontalières et transfrontalières des pays de l’Union du fleuve Mano (Côte d’Ivoire, Guinée, Libéria, Sierra Léone).
Lors de la cérémonie à l’amphithéâtre de l’Institut national de la Santé et de l’Hygiène publique (INHP) à Treichville (Abidjan, sud), l’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Kawamura Hiroshi a souligné que cette remise de matériel s’inscrit dans le projet régional dénommé « Soutenir et renforcer la surveillance médicale sous régionale post-Ebola et les initiatives de relèvement socio-économique en Afrique de l’Ouest financé par le gouvernement de son pays à hauteur de 4,5 million de dollars US, soit 2,7 milliards de FCFA pour une période d’un an.
Bien avant, des activités génératrices de revenus, de formation des équipes de surveillances sanitaire aux frontières, de sensibilisation à la cohésion sociale et plantations écoles dans la région de Danané à l’Ouest de la Côte d’Ivoire ont été mises en œuvre dans la cadre du projet, a-t-il rappelé.
Représentant la ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le directeur de l’INHP, Pr Bénié Bi Vroh Joseph, remerciant les donateurs a estimé qu’il apparaît impérieux de renforcer le système de santé en ressources humaines compétentes et en infrastructures performantes et que toutes les initiatives qui visent de tel objectif sont à saluer et à promouvoir. « Les équipements qui nous sont remis ce jour vont nous permettre de renforcer le contrôle », a-t-il indiqué.
Une épidémie à virus Ebola s’est déclarée pour la première fois en Afrique de l’Ouest causant plus de 2500 décès dans l’espace francophone, rappelle-t-on.
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