Le Père François Pazisnewende Kaboré, Directeur de l’Institut Universitaire du CERAP (CERAP/IDDH) a présenté, mardi le livre « Responsabilité Sociétale de l’Entreprise et Management Ethique en Afrique : Prolégomènes, Implémentations et Implications » à l’Assemblées des Régions et Districts de Côte d’Ivoire et à son président, Ahoussou Jeannot Kouadio.
L’ouvrage est en partie le fruit de la manifestation scientifique qui a connu une participation de plus de 25 experts de la diaspora Africaine dans le domaine de la RSE et du Management éthique.
Il a mobilisé plus directement 10 auteurs africains dans le domaine de la RSE et quatre autres experts ont participé à la critique scientifique et littéraire du livre : il s’agit de Dr Badini Koné (Univ Félix Houphouët Boigny, Prof Béhi, Mr Jacques Chatelain (Ernst & Young), Dr Frank Eba de SIFCA.
De ces 10 auteurs, 50% sont des Ivoiriens, le reste étant de la sous-région ouest africaine et de l’Afrique Centrale. Ces experts résident présentement en Afrique de l’Ouest, en Europe et en Amérique du Nord.
Ils sont des économistes, théologiens, éthiciens, avocats, juristes, auditeurs RSE, Gestionnaires et Ingénieurs. 70% d’entre eux sont des Universitaires et 10% relève d’une institution para publique, 10% de la grande entreprise et 10% de la Société civile.
« Présentement, seule 13% des grandes entreprises installées en Côte d’Ivoire dispose d’une RSE visible et effective » s’est indigné le père. Devons-nous laisser le traitement des employés, de notre environnement, de l’héritage des générations futures, les propositions de la Norme ISO 26 000, etc. au bon vouloir de quelques personnes ?a-t-il questionné.
En effet le livre est la résultante de plusieurs réflexions qui invitent à la rationalité économique afin de s’ouvrir à d’autre types de rationalités, en intégrant le social, l’environnement, l’humain et la réflexion éthique.
Pour lui, il revient aux gouvernements, en tant que premiers responsables de la vie socio-politique et économique d’initier et d’orchestrer la conversation, avec bien sûr la contribution vigilante de la société civile, les recherches du monde universitaire, le pragmatisme du secteur privé, les attentes légitimes des employés et des actionnaires, et le silence éloquent de notre conscience des besoins légitimes des générations futures.
« Nous apprécions cette démarche qui traduit votre volonté d’associer étroitement les élus locaux que nous sommes dans le positionnement de la RSE au cœur de la gouvernance territoriale » a indiqué le président de l’ARDCI, M. Ahoussou Jeannot.
Selon le président de l’ARDCI, cela s’inscrit dans la mission de développement des Régions et Districts à travers la protection de l’environnement et la gestion des Ressources naturelles ; et l’action sociale, culturelle et de promotion humaine qui constitue des axes majeurs de la RSE.
Elisée B.
L’ouvrage est en partie le fruit de la manifestation scientifique qui a connu une participation de plus de 25 experts de la diaspora Africaine dans le domaine de la RSE et du Management éthique.
Il a mobilisé plus directement 10 auteurs africains dans le domaine de la RSE et quatre autres experts ont participé à la critique scientifique et littéraire du livre : il s’agit de Dr Badini Koné (Univ Félix Houphouët Boigny, Prof Béhi, Mr Jacques Chatelain (Ernst & Young), Dr Frank Eba de SIFCA.
De ces 10 auteurs, 50% sont des Ivoiriens, le reste étant de la sous-région ouest africaine et de l’Afrique Centrale. Ces experts résident présentement en Afrique de l’Ouest, en Europe et en Amérique du Nord.
Ils sont des économistes, théologiens, éthiciens, avocats, juristes, auditeurs RSE, Gestionnaires et Ingénieurs. 70% d’entre eux sont des Universitaires et 10% relève d’une institution para publique, 10% de la grande entreprise et 10% de la Société civile.
« Présentement, seule 13% des grandes entreprises installées en Côte d’Ivoire dispose d’une RSE visible et effective » s’est indigné le père. Devons-nous laisser le traitement des employés, de notre environnement, de l’héritage des générations futures, les propositions de la Norme ISO 26 000, etc. au bon vouloir de quelques personnes ?a-t-il questionné.
En effet le livre est la résultante de plusieurs réflexions qui invitent à la rationalité économique afin de s’ouvrir à d’autre types de rationalités, en intégrant le social, l’environnement, l’humain et la réflexion éthique.
Pour lui, il revient aux gouvernements, en tant que premiers responsables de la vie socio-politique et économique d’initier et d’orchestrer la conversation, avec bien sûr la contribution vigilante de la société civile, les recherches du monde universitaire, le pragmatisme du secteur privé, les attentes légitimes des employés et des actionnaires, et le silence éloquent de notre conscience des besoins légitimes des générations futures.
« Nous apprécions cette démarche qui traduit votre volonté d’associer étroitement les élus locaux que nous sommes dans le positionnement de la RSE au cœur de la gouvernance territoriale » a indiqué le président de l’ARDCI, M. Ahoussou Jeannot.
Selon le président de l’ARDCI, cela s’inscrit dans la mission de développement des Régions et Districts à travers la protection de l’environnement et la gestion des Ressources naturelles ; et l’action sociale, culturelle et de promotion humaine qui constitue des axes majeurs de la RSE.
Elisée B.