L’opposition ivoirienne a réuni moins de mille personnes samedi dans les rues d’Abidjan, après l’appel à manifester contre une situation politique fragilisée par les mutineries de soldats en mai, a rapporté un journaliste de l’AFP.
« Nous dénonçons un pouvoir répressif, un pouvoir qui n’aime pas la liberté et la démocratie » a lancé aux manifestants le président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan.
Cette « marche de la colère » a été l?occasion, sous la pluie, pour les manifestants d’agiter des pancartes, où l’on pouvait lire : « On paie le mutin, on méprise le fonctionnaire » et « Libérez Gbabgo ».
M. Affi N’Guessan avait promis « de manifester contre une situation politique chaotique, notamment contre... suite de l'article sur Jeune Afrique
« Nous dénonçons un pouvoir répressif, un pouvoir qui n’aime pas la liberté et la démocratie » a lancé aux manifestants le président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan.
Cette « marche de la colère » a été l?occasion, sous la pluie, pour les manifestants d’agiter des pancartes, où l’on pouvait lire : « On paie le mutin, on méprise le fonctionnaire » et « Libérez Gbabgo ».
M. Affi N’Guessan avait promis « de manifester contre une situation politique chaotique, notamment contre... suite de l'article sur Jeune Afrique