Un membre du Conseil de la Haute autorité pour la bonne gouvernance (HABG), Adou Philippe, représentant le président de la structure a exhorté le corps préfectoral, les élus locaux et les directeurs régionaux à s’impliquer dans la prévention et la lutte contre la corruption pour bouter ce fléau des régions du Gontougo et du Bounkani, voire de la Côte d’Ivoire.
« (…) Vous êtes appelés à veiller à la mise en œuvre des engagements du gouvernement, parmi lesquels se trouve la prévention et la lutte contre la corruption. Dans cette optique, la Haute autorité pour la bonne gouvernance vous exhorte à vous approprier cette initiative qui, nous en sommes convaincus, contribuera à bouter la corruption hors de notre pays », a indiqué, M. Adou, à l’occasion d’une campagne de sensibilisation sur les conséquences de la corruption tenue lundi à Bondoukou.
Soulignant que les flux financiers d’investissements privés sont davantage orientés vers les pays qui réalisent les meilleures performances en matière de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, il a réaffirmé la volonté du gouvernement ivoirien de tout mettre en œuvre pour endiguer ce fléau, en vue du développement économique et social. Cette volonté du Gouvernement se traduit par la mise en place d’un dispositif juridique et institutionnel conformément aux conventions internationales ratifiées en 2012.
Le directeur de la sensibilisation et de l’éducation à la HABG, Jacques III Achiaou a, pour sa part, entretenu les participants sur la déclaration de patrimoine, les actes de corruption et infractions assimilées, les peines encourues, les modes de saisine ainsi que sur les mesures incombant aux autorités locales notamment en matière de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques, de passation de marchés, d’accès à l’information et de promotion des codes de conduite.
Initiée par la Haute autorité pour la bonne gouvernance, cette campagne vise, entre autres, à présenter le contenu des textes législatifs et règlementaires relatifs à la prévention et à la lutte contre la corruption ainsi que les infractions assimilées, à amener le corps préfectoral et les élus locaux et les directeurs régionaux à s’impliquer dans la prévention et la lutte contre ce fléau dans leurs localités.
ns/kam
« (…) Vous êtes appelés à veiller à la mise en œuvre des engagements du gouvernement, parmi lesquels se trouve la prévention et la lutte contre la corruption. Dans cette optique, la Haute autorité pour la bonne gouvernance vous exhorte à vous approprier cette initiative qui, nous en sommes convaincus, contribuera à bouter la corruption hors de notre pays », a indiqué, M. Adou, à l’occasion d’une campagne de sensibilisation sur les conséquences de la corruption tenue lundi à Bondoukou.
Soulignant que les flux financiers d’investissements privés sont davantage orientés vers les pays qui réalisent les meilleures performances en matière de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, il a réaffirmé la volonté du gouvernement ivoirien de tout mettre en œuvre pour endiguer ce fléau, en vue du développement économique et social. Cette volonté du Gouvernement se traduit par la mise en place d’un dispositif juridique et institutionnel conformément aux conventions internationales ratifiées en 2012.
Le directeur de la sensibilisation et de l’éducation à la HABG, Jacques III Achiaou a, pour sa part, entretenu les participants sur la déclaration de patrimoine, les actes de corruption et infractions assimilées, les peines encourues, les modes de saisine ainsi que sur les mesures incombant aux autorités locales notamment en matière de transparence et de responsabilité dans la gestion des finances publiques, de passation de marchés, d’accès à l’information et de promotion des codes de conduite.
Initiée par la Haute autorité pour la bonne gouvernance, cette campagne vise, entre autres, à présenter le contenu des textes législatifs et règlementaires relatifs à la prévention et à la lutte contre la corruption ainsi que les infractions assimilées, à amener le corps préfectoral et les élus locaux et les directeurs régionaux à s’impliquer dans la prévention et la lutte contre ce fléau dans leurs localités.
ns/kam