Dimbokro - La fin du jeûne de ramadan marquée par l’Aïd al-fitr ou fête de rupture de jeûne est précédée de la zakat, une aumône ou impôt purificateur, obligatoire pour toute personne qui a de quoi manger pour un jour et une nuit et qui possède un surplus de nourriture, a affirmé dimanche, le secrétaire général de la section du COSIM de Dimbokro, l’imam Tondossossama Yaya.
Pour l’imam Tondossossama, « La zakat al-fitr est le moyen pour le musulman jeûneur de se purifier des péchés et des abus passés. « La zakat al-fitr est une aide, un soutien, un acte de solidarité à l’égard des pauvres afin qu’ils profitent eux aussi de l’Aïd al-fitr et ne se retrouvent pas à quémander. Le jeûne reste suspendu entre ciel et terre et c'est grâce à la zakat qu'il est acheminé vers Dieu », a-t-il précisé lors d’un entretien avec l'AIP.
Le guide religieux a expliqué que la zakat al-fitr peut se donner sous forme de denrées alimentaires, ou sous forme pécuniaire, c’est-à-dire avec de l’argent et doit être payée au nom de toute personne à charge. «Un père de famille devra payer la zakat pour lui, pour son épouse et tous les enfants à charge même pour ceux qui ne jeûnent pas» a ajouté le guide religieux.
«Qu’on soit pauvre ou riche, le montant de la zakat al-fitr est le même pour tous. Il répond à des critères très précis, que l’on paye en nature ou avec de l’argent», a indiqué l’imam Tondossama.
Débuté le 27 mai, le jeûne du mois de ramadan, s'achève ce dimanche avec la célébration de l'Aïd al-fitr.
ik/kam
Pour l’imam Tondossossama, « La zakat al-fitr est le moyen pour le musulman jeûneur de se purifier des péchés et des abus passés. « La zakat al-fitr est une aide, un soutien, un acte de solidarité à l’égard des pauvres afin qu’ils profitent eux aussi de l’Aïd al-fitr et ne se retrouvent pas à quémander. Le jeûne reste suspendu entre ciel et terre et c'est grâce à la zakat qu'il est acheminé vers Dieu », a-t-il précisé lors d’un entretien avec l'AIP.
Le guide religieux a expliqué que la zakat al-fitr peut se donner sous forme de denrées alimentaires, ou sous forme pécuniaire, c’est-à-dire avec de l’argent et doit être payée au nom de toute personne à charge. «Un père de famille devra payer la zakat pour lui, pour son épouse et tous les enfants à charge même pour ceux qui ne jeûnent pas» a ajouté le guide religieux.
«Qu’on soit pauvre ou riche, le montant de la zakat al-fitr est le même pour tous. Il répond à des critères très précis, que l’on paye en nature ou avec de l’argent», a indiqué l’imam Tondossama.
Débuté le 27 mai, le jeûne du mois de ramadan, s'achève ce dimanche avec la célébration de l'Aïd al-fitr.
ik/kam