Abidjan - Le président de la République, Alassane Ouattara, a regagné mardi nuit Abidjan, après avoir pris à la cérémonie de remise du Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix aux lauréats 2017 au siège de l’UNESCO à Paris (France).
Aux côtés de plusieurs personnalités dont le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, et l’ancien président sénégalais, Abdou Diouf, respectivement protecteur et parrain dudit prix, le chef de l’Etat, tout en soulignant que l’engagement et la détermination de ces deux lauréats, Mme Giuseppina Nicolini, ancienne maire de Lampedusa et de Linosa, et le mouvement européen SOS Méditerranée, "constituent un modèle pour nous et pour les générations futures", et qu’il n’existe de cause plus juste que la vie humaine. A cet égard, a-t-il fait remarquer, "le défi que constituent les flux migratoires non régulés, nous interpelle tous et appelle à davantage de solidarité (…) dans la gestion de la crise migratoire".
Tout en insistant sur l’importance d’agir dans la durée et sur l’ensemble des facteurs à l’origine des flux migratoires, notamment les conflits, la pauvreté, le chômage, le changement climatique mais aussi le déficit de liberté et de démocratie dans de nombreux pays, le président Alassane Ouattara préconise de mettre en oeuvre, en concertation avec les pays de départ, des mécanismes de gestion des flux migratoires qui tiennent compte du respect de la dignité humaine et des valeurs de solidarité.
Le président de la République préside ce mercredi la réunion hebdomadaire du conseil des ministres au palais de la présidence au Plateau, signale-t-on.
kp
Aux côtés de plusieurs personnalités dont le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, et l’ancien président sénégalais, Abdou Diouf, respectivement protecteur et parrain dudit prix, le chef de l’Etat, tout en soulignant que l’engagement et la détermination de ces deux lauréats, Mme Giuseppina Nicolini, ancienne maire de Lampedusa et de Linosa, et le mouvement européen SOS Méditerranée, "constituent un modèle pour nous et pour les générations futures", et qu’il n’existe de cause plus juste que la vie humaine. A cet égard, a-t-il fait remarquer, "le défi que constituent les flux migratoires non régulés, nous interpelle tous et appelle à davantage de solidarité (…) dans la gestion de la crise migratoire".
Tout en insistant sur l’importance d’agir dans la durée et sur l’ensemble des facteurs à l’origine des flux migratoires, notamment les conflits, la pauvreté, le chômage, le changement climatique mais aussi le déficit de liberté et de démocratie dans de nombreux pays, le président Alassane Ouattara préconise de mettre en oeuvre, en concertation avec les pays de départ, des mécanismes de gestion des flux migratoires qui tiennent compte du respect de la dignité humaine et des valeurs de solidarité.
Le président de la République préside ce mercredi la réunion hebdomadaire du conseil des ministres au palais de la présidence au Plateau, signale-t-on.
kp
